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Histoire des îles

livre de Jack London

Résumé : C'est ici le London du monde austral, de ces mers et de ces îles qui furent chères aussi à Conrad, à Melville ou à Stevenson - le London de Fils du Soleil, de La Croisière du Snark ou des Contes des mers du Sud.Les lieux n'ont, en dépit des apparences, rien de paradisiaque. Cet univers qui fut peut-être enchanteur à l'état de nature (au sens oû l'entendait Rousseau) a été corrompu par les Blancs : ils y ont introduit l'esclavage, le racisme, la domination de l'argent. Ils sont indirectement responsables (par l'importation massive de coolies chinois) de l'invasion de la lèpre, fléau qui a abouti à la création de cette fameuse léproserie de Molokaï qui fascinait London.Rien d'idéalisé, donc, dans le regard que porte l'auteur sur ces territoires lointains, même si on le sent fasciné par les contes, les mythes et les croyances ancestrales des populations locales, qu'il s'amuse parfois à confronter au christianisme importé par les missionnaires. Mais London ne coiffe pas pour autant la casquette du militant politique : il décrit et constate, au travers d'habiles fictions, et laisse au lecteur le soin de juger. Parfois son pessimisme est tempéré par une émotion, un sourire, voire par une franche drôlerie : le drame se mue alors en comédie de moeurs ou de caractères, ou en satire douce-amère.Parmi toutes ces histoires aussi attachantes que variées, on retiendra notamment celle de Koolau le lépreux, que Carlos Giménez a adapté en bande dessinée : cet admirable exemple d'indigène résistant, malgré la maladie qui le mine, refuse de se rendre à des forces cent fois supérieures, lutte jusqu'au bout contre

Vincent-Ruozzi

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Ægir

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Histoire des îles

livre de Jack London

Résumé : C'est ici le London du monde austral, de ces mers et de ces îles qui furent chères aussi à Conrad, à Melville ou à Stevenson - le London de Fils du Soleil, de La Croisière du Snark ou des Contes des mers du Sud.Les lieux n'ont, en dépit des apparences, rien de paradisiaque. Cet univers qui fut peut-être enchanteur à l'état de nature (au sens oû l'entendait Rousseau) a été corrompu par les Blancs : ils y ont introduit l'esclavage, le racisme, la domination de l'argent. Ils sont indirectement responsables (par l'importation massive de coolies chinois) de l'invasion de la lèpre, fléau qui a abouti à la création de cette fameuse léproserie de Molokaï qui fascinait London.Rien d'idéalisé, donc, dans le regard que porte l'auteur sur ces territoires lointains, même si on le sent fasciné par les contes, les mythes et les croyances ancestrales des populations locales, qu'il s'amuse parfois à confronter au christianisme importé par les missionnaires. Mais London ne coiffe pas pour autant la casquette du militant politique : il décrit et constate, au travers d'habiles fictions, et laisse au lecteur le soin de juger. Parfois son pessimisme est tempéré par une émotion, un sourire, voire par une franche drôlerie : le drame se mue alors en comédie de moeurs ou de caractères, ou en satire douce-amère.Parmi toutes ces histoires aussi attachantes que variées, on retiendra notamment celle de Koolau le lépreux, que Carlos Giménez a adapté en bande dessinée : cet admirable exemple d'indigène résistant, malgré la maladie qui le mine, refuse de se rendre à des forces cent fois supérieures, lutte jusqu'au bout contre

Kokodeltacos

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Résumé : C'est ici le London du monde austral, de ces mers et de ces îles qui furent chères aussi à Conrad, à Melville ou à Stevenson - le London de Fils du Soleil, de La Croisière du Snark ou des Contes des mers du Sud.Les lieux n'ont, en dépit des apparences, rien de paradisiaque. Cet univers qui fut peut-être enchanteur à l'état de nature (au sens oû l'entendait Rousseau) a été corrompu par les Blancs : ils y ont introduit l'esclavage, le racisme, la domination de l'argent. Ils sont indirectement responsables (par l'importation massive de coolies chinois) de l'invasion de la lèpre, fléau qui a abouti à la création de cette fameuse léproserie de Molokaï qui fascinait London.Rien d'idéalisé, donc, dans le regard que porte l'auteur sur ces territoires lointains, même si on le sent fasciné par les contes, les mythes et les croyances ancestrales des populations locales, qu'il s'amuse parfois à confronter au christianisme importé par les missionnaires. Mais London ne coiffe pas pour autant la casquette du militant politique : il décrit et constate, au travers d'habiles fictions, et laisse au lecteur le soin de juger. Parfois son pessimisme est tempéré par une émotion, un sourire, voire par une franche drôlerie : le drame se mue alors en comédie de moeurs ou de caractères, ou en satire douce-amère.Parmi toutes ces histoires aussi attachantes que variées, on retiendra notamment celle de Koolau le lépreux, que Carlos Giménez a adapté en bande dessinée : cet admirable exemple d'indigène résistant, malgré la maladie qui le mine, refuse de se rendre à des forces cent fois supérieures, lutte jusqu'au bout contre

ToinouEtKuma

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