Dis donc Verlaine s'est pas trop foulé sur ce coup-là :
Leur pine vigoureuse et leurs fesses joyeuses
Réjouissent la nuit et ma queue et mon cu ;
Sous la lampe et le petit jour, leurs chairs joyeuses
Ressuscitent mon désir las, jamais vaincu
(...)
Seules saillies, une strophe qui m'a fait faire des yeux tous ronds ...
Un peu de merde et de fromage
Ne sont pas pour effaroucher
Mon nez, ma bouche et mon courage
Dans l'amour de gamahucher (...)
... et la partie de Rimbaud dans Le Sonnet du Trou du Cul écrit à deux mains.
Il me semble avoir assez cité pour que vous sachiez à quoi vous attendre. Vous pouvez trouver ce recueil par ici. Vous noterez la mention "Imprimé sous le manteau et ne se vend nulle part" sur la page de garde et l'existence d'un volume Femmes. Bonne lecture !