Bof...
Je n'avais jamais lu de Giacometti/Ravenne, et j'ai voulu commencer par le commencement... Je n'aurais peut-être pas du. Je n'ai guère apprécié ce "roman" (novella ?) qui est vraiment très léger...
le 1 juil. 2015
1 j'aime
Minerve, Comté de Toulouse en 1209, les Croisés prennent la ville et brûlent les Hérétiques. Raoul de Presles a un secret à transmettre à son fils.
Paris dans les années 1990 à une vente aux enchères, une jeune femme surenchérit sur une vente. De retour chez elle, elle a décidé de tout dévoiler à son amie Edith. Mais elle est sauvagement assassinée.
Londres, immolation par la feu, des centaines de morts.
Et voilà, nous y sommes. Nous commençons réellement la sage d’Antoine Marcas, même si j’ai déjà lu le suivant et le dernier, Le règne des Illuminati. Même si je connais déjà Antoine, là, nous le découvrons réellement avec sa première enquête. Je regrette, toutefois, le peu d’explications concernant son passage, j’utiliserai ce mot, à la Franc-Maçonnerie. Est-ce dû à sa rencontre avec Edith, les explications données par celui qu’il poursuivait ? J’imagine diverses raisons mais aussi son souci d’aller beaucoup plus loin dans son histoire personnelle puisqu’il est en instance de divorce, il se sépare également, avec pertes et fracas, de sa maîtresse.
In Nomine est sorti beaucoup plus tard que le premier opus. Cela n’enlève rien à la qualité du roman et des auteurs, Eric Giacometti et Jacques Ravenne. En un peu plus de 100 pages, les rebondissements sont nombreux. La fin est digne d’un des meilleurs polars et In Nomine est un très bon polar. Il y a tous les ingrédients. Un flic, Marcas, une anatomie parfaite, Wanda (j’adore ces deux mots), une journaliste, des personnages mystérieux, des personnages sur lesquels il ne faut pas compter, des morts… Le rythme est mené tambour battant, je ne me suis pas du tout ennuyée. Les deux auteurs entretiennent le suspense de suite, des noms ne sont pas révélés, un mot également ne doit pas être prononcé. Pour connaître les premiers, il faut se plonger dans le roman, pour le dernier suspense.
Je remercie, en tous les cas, Eric Giacometti et Jacques Ravenne pour les explications données en fin de roman. Ils sont coutumiers du fait et cela donne une autre dimension à ce que le lecteur a appris ou tente de comprendre.
Par contre, je vais faire ma mauvaise. J’en ai marre de lire des bouquins, c’est pratiquement le cas à toutes mes lectures maintenant, avec des fautes. J’en ai décelé trois ou quatre. Problème d’impression, de relecture…?
Je n’abandonnerai en aucun cas Antoine Marcas. Il est devenu un des mes personnages préférés, comme peut l’être Kay Scarpetta dans un autre domaine ou d’autres héros d’auteurs. La famille, également, va suivre. Ma fille s’était déjà plongée dans Le règne des Illuminatis, le sujet l’intéressant énormément, elle va commencer avec In Nomine. Quant à l’homme, vu sa PAL, ce sera fait mais à quelle date ?
Créée
le 10 nov. 2015
Critique lue 472 fois
2 j'aime
D'autres avis sur In nomine
Je n'avais jamais lu de Giacometti/Ravenne, et j'ai voulu commencer par le commencement... Je n'aurais peut-être pas du. Je n'ai guère apprécié ce "roman" (novella ?) qui est vraiment très léger...
le 1 juil. 2015
1 j'aime
Courte nouvelle de notre cher Marcas où on en apprend plus sur le frère obèse et comment Antoine Marcas devient franc-maçon. Intéressante même si trop courte. Pas une minute de répis et une histoire...
Par
le 8 avr. 2011
1 j'aime
Curieux de découvrir les aventures de l'inspecteur franc-maçon Antoine Marcas, réponse française aux sulfureuses aventures de Robert Langdon, je me suis jeté sur In Nomine qui se vend comme le...
Par
le 22 nov. 2015
Du même critique
EN 1823, Hugh Glass participe à une mission comme trappeur dans l’Ouest américain. Mais il est gravement blessé par un grizzly. Le chef de l’expédition, Andrew Henry, décide que deux hommes doivent...
Par
le 30 août 2014
10 j'aime
Alex est belle, elle a 30 ans, elle travaille comme infirmière intérimaire, elle porte toujours des perruques, notamment du roux. Elle n'a pas confiance en sa capacité de séduction. Dans le métro, le...
Par
le 6 juin 2011
8 j'aime
2
Catherine Morland a de nombreux frères et soeurs. Elle a un père, membre du clergé. Elle n’a jamais été attiré par les études et l’art. Elle se comportait en garçon manqué. Mais vers 15 ans, elle...
Par
le 20 juin 2015
6 j'aime
1