L'actualité sur J'aurais voulu être égyptien
Les dernières actions
livre de Alaa El Aswany
Résumé : Nouvelles traduites de l'arabe par Gilles GauthierAprès Chicago (2007), l'auteur de L'Immeuble Yacoubian revient au cœur du Caire et des contradictions d'une société en crise avec un recueil de nouvelles pétillantes où l'intelligence aiguë des situations le dispute à l'humanité et à la drôlerie de son regard attentif, qui pour être perçant et percutant, n'en demeure pas moins amoureux. Les blessures les plus douloureuses nous sont souvent infligées par nos plus proches. Partant de cette épineuse conscience, le titre de ce recueil qui réunit neuf nouvelles et une novella fait allusion au « feu ami » qui trop souvent menace les guerriers modernes dans le désordre brutal des zones de conflit.On retrouve ici la vraie maîtrise et le faux détachement avec lequel Alaa El Aswany aime à disséquer l'hypocrisie, la violence, les abus de pouvoirs d'une société en profonde crise de foi comme de moralité. Thèmes qui lui sont chers mais qu'il attaque cette fois par le prisme de l'individu, de la famille, d'une salle de classe ou d'une relation amoureuse. Est-il possible pour un homme qui déteste tant la société dans laquelle il évolue qu'il assimile ses membres à des microbes s'agitant sous un microscope, de survivre en son sein ? Le cynisme religieux peut-il triompher contre la décence humaniste ? Un homme peut-il mettre de côté la pensée d'un délicieux plat de haricots assez longtemps pour porter le deuil de son père ? En plus d'exceller à décortiquer ce genre de questions narquoises, Feux amis offre aussi une attachante galerie de portraits : où l'on voit notamment une danseuse de cabaret vieillissante accorder la bénédiction d'un monde en fuite à l'amant de son fils ou un garçon infirme remporter une victoire subjective sur un désastre objectif.Encore une fois, Alaa El Aswany fait s'élever, vibrante, la voix passionnée de l'humanité bouillonnante du Caire d'aujourd'hui. L'auteur : Fils de Abbas Al-Assouani, avocat et écrivain, Alaa El-Aswany, né en 1957, exerce le métier de de
a attribué 8/10 au livre
et l'a ajouté à sa liste
livre de Alaa El Aswany
Résumé : Nouvelles traduites de l'arabe par Gilles GauthierAprès Chicago (2007), l'auteur de L'Immeuble Yacoubian revient au cœur du Caire et des contradictions d'une société en crise avec un recueil de nouvelles pétillantes où l'intelligence aiguë des situations le dispute à l'humanité et à la drôlerie de son regard attentif, qui pour être perçant et percutant, n'en demeure pas moins amoureux. Les blessures les plus douloureuses nous sont souvent infligées par nos plus proches. Partant de cette épineuse conscience, le titre de ce recueil qui réunit neuf nouvelles et une novella fait allusion au « feu ami » qui trop souvent menace les guerriers modernes dans le désordre brutal des zones de conflit.On retrouve ici la vraie maîtrise et le faux détachement avec lequel Alaa El Aswany aime à disséquer l'hypocrisie, la violence, les abus de pouvoirs d'une société en profonde crise de foi comme de moralité. Thèmes qui lui sont chers mais qu'il attaque cette fois par le prisme de l'individu, de la famille, d'une salle de classe ou d'une relation amoureuse. Est-il possible pour un homme qui déteste tant la société dans laquelle il évolue qu'il assimile ses membres à des microbes s'agitant sous un microscope, de survivre en son sein ? Le cynisme religieux peut-il triompher contre la décence humaniste ? Un homme peut-il mettre de côté la pensée d'un délicieux plat de haricots assez longtemps pour porter le deuil de son père ? En plus d'exceller à décortiquer ce genre de questions narquoises, Feux amis offre aussi une attachante galerie de portraits : où l'on voit notamment une danseuse de cabaret vieillissante accorder la bénédiction d'un monde en fuite à l'amant de son fils ou un garçon infirme remporter une victoire subjective sur un désastre objectif.Encore une fois, Alaa El Aswany fait s'élever, vibrante, la voix passionnée de l'humanité bouillonnante du Caire d'aujourd'hui. L'auteur : Fils de Abbas Al-Assouani, avocat et écrivain, Alaa El-Aswany, né en 1957, exerce le métier de de
livre de Alaa El Aswany
Résumé : Nouvelles traduites de l'arabe par Gilles GauthierAprès Chicago (2007), l'auteur de L'Immeuble Yacoubian revient au cœur du Caire et des contradictions d'une société en crise avec un recueil de nouvelles pétillantes où l'intelligence aiguë des situations le dispute à l'humanité et à la drôlerie de son regard attentif, qui pour être perçant et percutant, n'en demeure pas moins amoureux. Les blessures les plus douloureuses nous sont souvent infligées par nos plus proches. Partant de cette épineuse conscience, le titre de ce recueil qui réunit neuf nouvelles et une novella fait allusion au « feu ami » qui trop souvent menace les guerriers modernes dans le désordre brutal des zones de conflit.On retrouve ici la vraie maîtrise et le faux détachement avec lequel Alaa El Aswany aime à disséquer l'hypocrisie, la violence, les abus de pouvoirs d'une société en profonde crise de foi comme de moralité. Thèmes qui lui sont chers mais qu'il attaque cette fois par le prisme de l'individu, de la famille, d'une salle de classe ou d'une relation amoureuse. Est-il possible pour un homme qui déteste tant la société dans laquelle il évolue qu'il assimile ses membres à des microbes s'agitant sous un microscope, de survivre en son sein ? Le cynisme religieux peut-il triompher contre la décence humaniste ? Un homme peut-il mettre de côté la pensée d'un délicieux plat de haricots assez longtemps pour porter le deuil de son père ? En plus d'exceller à décortiquer ce genre de questions narquoises, Feux amis offre aussi une attachante galerie de portraits : où l'on voit notamment une danseuse de cabaret vieillissante accorder la bénédiction d'un monde en fuite à l'amant de son fils ou un garçon infirme remporter une victoire subjective sur un désastre objectif.Encore une fois, Alaa El Aswany fait s'élever, vibrante, la voix passionnée de l'humanité bouillonnante du Caire d'aujourd'hui. L'auteur : Fils de Abbas Al-Assouani, avocat et écrivain, Alaa El-Aswany, né en 1957, exerce le métier de de
livre de Alaa El Aswany
Résumé : Nouvelles traduites de l'arabe par Gilles GauthierAprès Chicago (2007), l'auteur de L'Immeuble Yacoubian revient au cœur du Caire et des contradictions d'une société en crise avec un recueil de nouvelles pétillantes où l'intelligence aiguë des situations le dispute à l'humanité et à la drôlerie de son regard attentif, qui pour être perçant et percutant, n'en demeure pas moins amoureux. Les blessures les plus douloureuses nous sont souvent infligées par nos plus proches. Partant de cette épineuse conscience, le titre de ce recueil qui réunit neuf nouvelles et une novella fait allusion au « feu ami » qui trop souvent menace les guerriers modernes dans le désordre brutal des zones de conflit.On retrouve ici la vraie maîtrise et le faux détachement avec lequel Alaa El Aswany aime à disséquer l'hypocrisie, la violence, les abus de pouvoirs d'une société en profonde crise de foi comme de moralité. Thèmes qui lui sont chers mais qu'il attaque cette fois par le prisme de l'individu, de la famille, d'une salle de classe ou d'une relation amoureuse. Est-il possible pour un homme qui déteste tant la société dans laquelle il évolue qu'il assimile ses membres à des microbes s'agitant sous un microscope, de survivre en son sein ? Le cynisme religieux peut-il triompher contre la décence humaniste ? Un homme peut-il mettre de côté la pensée d'un délicieux plat de haricots assez longtemps pour porter le deuil de son père ? En plus d'exceller à décortiquer ce genre de questions narquoises, Feux amis offre aussi une attachante galerie de portraits : où l'on voit notamment une danseuse de cabaret vieillissante accorder la bénédiction d'un monde en fuite à l'amant de son fils ou un garçon infirme remporter une victoire subjective sur un désastre objectif.Encore une fois, Alaa El Aswany fait s'élever, vibrante, la voix passionnée de l'humanité bouillonnante du Caire d'aujourd'hui. L'auteur : Fils de Abbas Al-Assouani, avocat et écrivain, Alaa El-Aswany, né en 1957, exerce le métier de de
livre de Alaa El Aswany
Résumé : Nouvelles traduites de l'arabe par Gilles GauthierAprès Chicago (2007), l'auteur de L'Immeuble Yacoubian revient au cœur du Caire et des contradictions d'une société en crise avec un recueil de nouvelles pétillantes où l'intelligence aiguë des situations le dispute à l'humanité et à la drôlerie de son regard attentif, qui pour être perçant et percutant, n'en demeure pas moins amoureux. Les blessures les plus douloureuses nous sont souvent infligées par nos plus proches. Partant de cette épineuse conscience, le titre de ce recueil qui réunit neuf nouvelles et une novella fait allusion au « feu ami » qui trop souvent menace les guerriers modernes dans le désordre brutal des zones de conflit.On retrouve ici la vraie maîtrise et le faux détachement avec lequel Alaa El Aswany aime à disséquer l'hypocrisie, la violence, les abus de pouvoirs d'une société en profonde crise de foi comme de moralité. Thèmes qui lui sont chers mais qu'il attaque cette fois par le prisme de l'individu, de la famille, d'une salle de classe ou d'une relation amoureuse. Est-il possible pour un homme qui déteste tant la société dans laquelle il évolue qu'il assimile ses membres à des microbes s'agitant sous un microscope, de survivre en son sein ? Le cynisme religieux peut-il triompher contre la décence humaniste ? Un homme peut-il mettre de côté la pensée d'un délicieux plat de haricots assez longtemps pour porter le deuil de son père ? En plus d'exceller à décortiquer ce genre de questions narquoises, Feux amis offre aussi une attachante galerie de portraits : où l'on voit notamment une danseuse de cabaret vieillissante accorder la bénédiction d'un monde en fuite à l'amant de son fils ou un garçon infirme remporter une victoire subjective sur un désastre objectif.Encore une fois, Alaa El Aswany fait s'élever, vibrante, la voix passionnée de l'humanité bouillonnante du Caire d'aujourd'hui. L'auteur : Fils de Abbas Al-Assouani, avocat et écrivain, Alaa El-Aswany, né en 1957, exerce le métier de de
Le 5 août 2019
1 j'aime