Critiques de Jayne Mansfield 1967

madametong
4

closer " le drame d'une héroine de série télé"

globalement, une escroquerie. Aucun intérêt, une partie glauque sur l'accident qui a couté la vie à cette femme, avec de grands arrêts sur image sur les corps, et une partie faible sur la dernière...

le 6 déc. 2011

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CykerLogo
2

Un torchon froid

C'est clairement mauvais. Le style est froid, distancié, presque documentaire. Peu d'interactions entre les personnages, aucune psychologie exploitée. Que du factuel! Le personnage principal...

le 17 févr. 2018

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ludovico
8

La blonde et moi

C’est d’un livre dont il s’agit aujourd’hui, qui m’a fait de l’œil dans ma librairie favorite, et que j’ai dévoré : Jayne Mansfield 1967, de Simon Liberati. Sarcastiquement sous titré Roman, il...

le 19 mars 2017

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VirginiA
5

L'artiste qui se fait appeler Jayne Mansfield.

Quand on a un sujet aussi rêvé que la déchéance et la mort brutale d'une des plus sulfureuses figures hollywoodiennes, et qu'on de quoi décliner l'affaire selon des angles aussi porteurs (sa dévotion...

le 12 nov. 2012

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Cinephile-doux
3

La Marilyn du pauvre

115-45-95, 163. Les trois premiers chiffres correspondent aux mensurations de Jayne Mansfield, le dernier à son QI. A celle que "les hommes avaient du mal à regarder dans les yeux' (sic), Simon...

le 27 avr. 2017

qwemos
4

Jayne Mansfield tu connais? Non. Normal.

J'ai lu ce livre uniquement parce que le nom de Marylin apparaissait dans le résumé, j'ai un peu regretté. En toute honnêteté je ne l'ai pas trouvé fabuleusement intéressant. Si tu sais qui est Anna...

le 26 nov. 2013

alicemo
7

Critique de par alicemo

Après avoir lu "Marilyn et John", je suis restée dans la période avec Jayne Mansfield. J'ai aimé ! Je comprends pourquoi un prix lui a été attribué...

le 10 oct. 2012

indraens
6

Critique de par indraens

Simon Liberati a du talent (écriture acérée, épluchage et déconstruction méticuleux des récits qui ont fabriqué l'icône, portrait au vitriol du Tout Los Angeles des années 60) mais on ne partagera...

le 7 oct. 2012

HenriMesquidaJr
7

Critique de par HENRI MESQUIDA

un texte « froid », « clinique », « morbide » - peut-être, Du faux people journalistique (avec un style en fait très travaillé) qui rappelle le meilleur de Truman Capote (prix fémina). J'aime.

le 3 oct. 2012

Rosa
8

Critique de par Rosa

La decription de l'accident est inoubliable. Puis le livre s'essouffle avec la vie de Jayne Mansfield, quoique... pas tant que cela car on reste en haleine jusquau boût (voyeurisme?). Drôle et...

Par

le 20 févr. 2012