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ShinyLysandre

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Je ne crois qu’en moi

livre de Catherine Breillat et Murielle Joudet

Résumé : Catherine Breillat n’a jamais raconté qu’une seule histoire : la sienne, celle d’une jeune fille interdite d’existence qu’on aura, dès l’enfance, coupée en deux, écartelée entre son cerveau et son sexe, marquée par la honte d’être née femme. Elle est devenue cinéaste à une époque où choisir cette vocation consistait à désobéir à tout le monde. Depuis son premier film, Une vraie jeune fille (1975), jusqu’à L’Été dernier (2023), elle filme pour reprendre ce qu’on lui a volé, pour explorer ce qu’elle appelle l’« infilmable » : cette inépuisable zone grise du féminin où honte, transgression, volupté, dégoût et quête de soi s’entremêlent jusqu’à se confondre. Son œuvre formule un lancinant « Connais-toi toi-même », un voyage spirituel qui, pour ses héroïnes, s’articule comme une guerre ouverte avec l’autre sexe. Parler avec Catherine Breillat et l’écouter, c’est obtenir des réponses qui tiennent autant de la leçon de cinéma que de la survie.

xGh0st
Je ne crois qu’en moi

livre de Catherine Breillat et Murielle Joudet

Résumé : Catherine Breillat n’a jamais raconté qu’une seule histoire : la sienne, celle d’une jeune fille interdite d’existence qu’on aura, dès l’enfance, coupée en deux, écartelée entre son cerveau et son sexe, marquée par la honte d’être née femme. Elle est devenue cinéaste à une époque où choisir cette vocation consistait à désobéir à tout le monde. Depuis son premier film, Une vraie jeune fille (1975), jusqu’à L’Été dernier (2023), elle filme pour reprendre ce qu’on lui a volé, pour explorer ce qu’elle appelle l’« infilmable » : cette inépuisable zone grise du féminin où honte, transgression, volupté, dégoût et quête de soi s’entremêlent jusqu’à se confondre. Son œuvre formule un lancinant « Connais-toi toi-même », un voyage spirituel qui, pour ses héroïnes, s’articule comme une guerre ouverte avec l’autre sexe. Parler avec Catherine Breillat et l’écouter, c’est obtenir des réponses qui tiennent autant de la leçon de cinéma que de la survie.

Acabmaster

a attribué 7/10 au livre

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Résumé : Catherine Breillat n’a jamais raconté qu’une seule histoire : la sienne, celle d’une jeune fille interdite d’existence qu’on aura, dès l’enfance, coupée en deux, écartelée entre son cerveau et son sexe, marquée par la honte d’être née femme. Elle est devenue cinéaste à une époque où choisir cette vocation consistait à désobéir à tout le monde. Depuis son premier film, Une vraie jeune fille (1975), jusqu’à L’Été dernier (2023), elle filme pour reprendre ce qu’on lui a volé, pour explorer ce qu’elle appelle l’« infilmable » : cette inépuisable zone grise du féminin où honte, transgression, volupté, dégoût et quête de soi s’entremêlent jusqu’à se confondre. Son œuvre formule un lancinant « Connais-toi toi-même », un voyage spirituel qui, pour ses héroïnes, s’articule comme une guerre ouverte avec l’autre sexe. Parler avec Catherine Breillat et l’écouter, c’est obtenir des réponses qui tiennent autant de la leçon de cinéma que de la survie.

fillesauvage

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Je ne crois qu’en moi

livre de Catherine Breillat et Murielle Joudet

Résumé : Catherine Breillat n’a jamais raconté qu’une seule histoire : la sienne, celle d’une jeune fille interdite d’existence qu’on aura, dès l’enfance, coupée en deux, écartelée entre son cerveau et son sexe, marquée par la honte d’être née femme. Elle est devenue cinéaste à une époque où choisir cette vocation consistait à désobéir à tout le monde. Depuis son premier film, Une vraie jeune fille (1975), jusqu’à L’Été dernier (2023), elle filme pour reprendre ce qu’on lui a volé, pour explorer ce qu’elle appelle l’« infilmable » : cette inépuisable zone grise du féminin où honte, transgression, volupté, dégoût et quête de soi s’entremêlent jusqu’à se confondre. Son œuvre formule un lancinant « Connais-toi toi-même », un voyage spirituel qui, pour ses héroïnes, s’articule comme une guerre ouverte avec l’autre sexe. Parler avec Catherine Breillat et l’écouter, c’est obtenir des réponses qui tiennent autant de la leçon de cinéma que de la survie.

Rautechre

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livre de Catherine Breillat et Murielle Joudet

Résumé : Catherine Breillat n’a jamais raconté qu’une seule histoire : la sienne, celle d’une jeune fille interdite d’existence qu’on aura, dès l’enfance, coupée en deux, écartelée entre son cerveau et son sexe, marquée par la honte d’être née femme. Elle est devenue cinéaste à une époque où choisir cette vocation consistait à désobéir à tout le monde. Depuis son premier film, Une vraie jeune fille (1975), jusqu’à L’Été dernier (2023), elle filme pour reprendre ce qu’on lui a volé, pour explorer ce qu’elle appelle l’« infilmable » : cette inépuisable zone grise du féminin où honte, transgression, volupté, dégoût et quête de soi s’entremêlent jusqu’à se confondre. Son œuvre formule un lancinant « Connais-toi toi-même », un voyage spirituel qui, pour ses héroïnes, s’articule comme une guerre ouverte avec l’autre sexe. Parler avec Catherine Breillat et l’écouter, c’est obtenir des réponses qui tiennent autant de la leçon de cinéma que de la survie.

Clémence Lucas

a attribué 8/10 au livre

Je ne crois qu’en moi

livre de Catherine Breillat et Murielle Joudet

Résumé : Catherine Breillat n’a jamais raconté qu’une seule histoire : la sienne, celle d’une jeune fille interdite d’existence qu’on aura, dès l’enfance, coupée en deux, écartelée entre son cerveau et son sexe, marquée par la honte d’être née femme. Elle est devenue cinéaste à une époque où choisir cette vocation consistait à désobéir à tout le monde. Depuis son premier film, Une vraie jeune fille (1975), jusqu’à L’Été dernier (2023), elle filme pour reprendre ce qu’on lui a volé, pour explorer ce qu’elle appelle l’« infilmable » : cette inépuisable zone grise du féminin où honte, transgression, volupté, dégoût et quête de soi s’entremêlent jusqu’à se confondre. Son œuvre formule un lancinant « Connais-toi toi-même », un voyage spirituel qui, pour ses héroïnes, s’articule comme une guerre ouverte avec l’autre sexe. Parler avec Catherine Breillat et l’écouter, c’est obtenir des réponses qui tiennent autant de la leçon de cinéma que de la survie.

ecotone

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Livres lus en 2024.

Je ne crois qu’en moi

livre de Catherine Breillat et Murielle Joudet

Résumé : Catherine Breillat n’a jamais raconté qu’une seule histoire : la sienne, celle d’une jeune fille interdite d’existence qu’on aura, dès l’enfance, coupée en deux, écartelée entre son cerveau et son sexe, marquée par la honte d’être née femme. Elle est devenue cinéaste à une époque où choisir cette vocation consistait à désobéir à tout le monde. Depuis son premier film, Une vraie jeune fille (1975), jusqu’à L’Été dernier (2023), elle filme pour reprendre ce qu’on lui a volé, pour explorer ce qu’elle appelle l’« infilmable » : cette inépuisable zone grise du féminin où honte, transgression, volupté, dégoût et quête de soi s’entremêlent jusqu’à se confondre. Son œuvre formule un lancinant « Connais-toi toi-même », un voyage spirituel qui, pour ses héroïnes, s’articule comme une guerre ouverte avec l’autre sexe. Parler avec Catherine Breillat et l’écouter, c’est obtenir des réponses qui tiennent autant de la leçon de cinéma que de la survie.

Nicolas_Bardot

a attribué 9/10 au livre

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Lus en 2024

Je ne crois qu’en moi

livre de Catherine Breillat et Murielle Joudet

Résumé : Catherine Breillat n’a jamais raconté qu’une seule histoire : la sienne, celle d’une jeune fille interdite d’existence qu’on aura, dès l’enfance, coupée en deux, écartelée entre son cerveau et son sexe, marquée par la honte d’être née femme. Elle est devenue cinéaste à une époque où choisir cette vocation consistait à désobéir à tout le monde. Depuis son premier film, Une vraie jeune fille (1975), jusqu’à L’Été dernier (2023), elle filme pour reprendre ce qu’on lui a volé, pour explorer ce qu’elle appelle l’« infilmable » : cette inépuisable zone grise du féminin où honte, transgression, volupté, dégoût et quête de soi s’entremêlent jusqu’à se confondre. Son œuvre formule un lancinant « Connais-toi toi-même », un voyage spirituel qui, pour ses héroïnes, s’articule comme une guerre ouverte avec l’autre sexe. Parler avec Catherine Breillat et l’écouter, c’est obtenir des réponses qui tiennent autant de la leçon de cinéma que de la survie.

Corentin Ghibaudo

a attribué 9/10 au livre

Je ne crois qu’en moi

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Résumé : Catherine Breillat n’a jamais raconté qu’une seule histoire : la sienne, celle d’une jeune fille interdite d’existence qu’on aura, dès l’enfance, coupée en deux, écartelée entre son cerveau et son sexe, marquée par la honte d’être née femme. Elle est devenue cinéaste à une époque où choisir cette vocation consistait à désobéir à tout le monde. Depuis son premier film, Une vraie jeune fille (1975), jusqu’à L’Été dernier (2023), elle filme pour reprendre ce qu’on lui a volé, pour explorer ce qu’elle appelle l’« infilmable » : cette inépuisable zone grise du féminin où honte, transgression, volupté, dégoût et quête de soi s’entremêlent jusqu’à se confondre. Son œuvre formule un lancinant « Connais-toi toi-même », un voyage spirituel qui, pour ses héroïnes, s’articule comme une guerre ouverte avec l’autre sexe. Parler avec Catherine Breillat et l’écouter, c’est obtenir des réponses qui tiennent autant de la leçon de cinéma que de la survie.

viva12

a attribué 10/10 au livre

Je ne crois qu’en moi

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Résumé : Catherine Breillat n’a jamais raconté qu’une seule histoire : la sienne, celle d’une jeune fille interdite d’existence qu’on aura, dès l’enfance, coupée en deux, écartelée entre son cerveau et son sexe, marquée par la honte d’être née femme. Elle est devenue cinéaste à une époque où choisir cette vocation consistait à désobéir à tout le monde. Depuis son premier film, Une vraie jeune fille (1975), jusqu’à L’Été dernier (2023), elle filme pour reprendre ce qu’on lui a volé, pour explorer ce qu’elle appelle l’« infilmable » : cette inépuisable zone grise du féminin où honte, transgression, volupté, dégoût et quête de soi s’entremêlent jusqu’à se confondre. Son œuvre formule un lancinant « Connais-toi toi-même », un voyage spirituel qui, pour ses héroïnes, s’articule comme une guerre ouverte avec l’autre sexe. Parler avec Catherine Breillat et l’écouter, c’est obtenir des réponses qui tiennent autant de la leçon de cinéma que de la survie.

Lebucheronducinema

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Résumé : Catherine Breillat n’a jamais raconté qu’une seule histoire : la sienne, celle d’une jeune fille interdite d’existence qu’on aura, dès l’enfance, coupée en deux, écartelée entre son cerveau et son sexe, marquée par la honte d’être née femme. Elle est devenue cinéaste à une époque où choisir cette vocation consistait à désobéir à tout le monde. Depuis son premier film, Une vraie jeune fille (1975), jusqu’à L’Été dernier (2023), elle filme pour reprendre ce qu’on lui a volé, pour explorer ce qu’elle appelle l’« infilmable » : cette inépuisable zone grise du féminin où honte, transgression, volupté, dégoût et quête de soi s’entremêlent jusqu’à se confondre. Son œuvre formule un lancinant « Connais-toi toi-même », un voyage spirituel qui, pour ses héroïnes, s’articule comme une guerre ouverte avec l’autre sexe. Parler avec Catherine Breillat et l’écouter, c’est obtenir des réponses qui tiennent autant de la leçon de cinéma que de la survie.

MaratCorday

a attribué 9/10 au livre

Je ne crois qu’en moi

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Selim Derkaoui

a recommandé le livre

et lui a attribué 10/10

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Résumé : Catherine Breillat n’a jamais raconté qu’une seule histoire : la sienne, celle d’une jeune fille interdite d’existence qu’on aura, dès l’enfance, coupée en deux, écartelée entre son cerveau et son sexe, marquée par la honte d’être née femme. Elle est devenue cinéaste à une époque où choisir cette vocation consistait à désobéir à tout le monde. Depuis son premier film, Une vraie jeune fille (1975), jusqu’à L’Été dernier (2023), elle filme pour reprendre ce qu’on lui a volé, pour explorer ce qu’elle appelle l’« infilmable » : cette inépuisable zone grise du féminin où honte, transgression, volupté, dégoût et quête de soi s’entremêlent jusqu’à se confondre. Son œuvre formule un lancinant « Connais-toi toi-même », un voyage spirituel qui, pour ses héroïnes, s’articule comme une guerre ouverte avec l’autre sexe. Parler avec Catherine Breillat et l’écouter, c’est obtenir des réponses qui tiennent autant de la leçon de cinéma que de la survie.

morenoxxx

a attribué 8/10 au livre

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2023 : je lis promis

Je ne crois qu’en moi

livre de Catherine Breillat et Murielle Joudet

Résumé : Catherine Breillat n’a jamais raconté qu’une seule histoire : la sienne, celle d’une jeune fille interdite d’existence qu’on aura, dès l’enfance, coupée en deux, écartelée entre son cerveau et son sexe, marquée par la honte d’être née femme. Elle est devenue cinéaste à une époque où choisir cette vocation consistait à désobéir à tout le monde. Depuis son premier film, Une vraie jeune fille (1975), jusqu’à L’Été dernier (2023), elle filme pour reprendre ce qu’on lui a volé, pour explorer ce qu’elle appelle l’« infilmable » : cette inépuisable zone grise du féminin où honte, transgression, volupté, dégoût et quête de soi s’entremêlent jusqu’à se confondre. Son œuvre formule un lancinant « Connais-toi toi-même », un voyage spirituel qui, pour ses héroïnes, s’articule comme une guerre ouverte avec l’autre sexe. Parler avec Catherine Breillat et l’écouter, c’est obtenir des réponses qui tiennent autant de la leçon de cinéma que de la survie.

Malossanne

a attribué 7/10 au livre

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Arthur_Bouet

a attribué 9/10 au livre

Je ne crois qu’en moi

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Résumé : Catherine Breillat n’a jamais raconté qu’une seule histoire : la sienne, celle d’une jeune fille interdite d’existence qu’on aura, dès l’enfance, coupée en deux, écartelée entre son cerveau et son sexe, marquée par la honte d’être née femme. Elle est devenue cinéaste à une époque où choisir cette vocation consistait à désobéir à tout le monde. Depuis son premier film, Une vraie jeune fille (1975), jusqu’à L’Été dernier (2023), elle filme pour reprendre ce qu’on lui a volé, pour explorer ce qu’elle appelle l’« infilmable » : cette inépuisable zone grise du féminin où honte, transgression, volupté, dégoût et quête de soi s’entremêlent jusqu’à se confondre. Son œuvre formule un lancinant « Connais-toi toi-même », un voyage spirituel qui, pour ses héroïnes, s’articule comme une guerre ouverte avec l’autre sexe. Parler avec Catherine Breillat et l’écouter, c’est obtenir des réponses qui tiennent autant de la leçon de cinéma que de la survie.