Grâce à J.L. Debré qu’il a rencontré un soir qu’il « tapait la manche », J.M. Roughol, à 47 ans, raconte son enfance chaotique, sa vie dans la rue, ses années de galère.
Un personnage attachant, un témoignage sans complaisance mais aussi sans rancœur, occasion de découvrir un monde impitoyable que l’on voit tous les jours mais... qu’on ne voit pas ou plus...
Un livre, peu volumineux, que j’ai lu avec intérêt.
Créée
le 13 févr. 2016
Critique lue 251 fois
1 j'aime
D'autres avis sur Je tape la manche
Je tape la manche, c’est le récit touchant et surprenant d’un homme dans l’ombre. Un homme comme les autres qui nous ouvre les yeux sur son monde et celui de ceux que l’on choisit bien souvent de ne...
le 29 févr. 2016
Du même critique
Grâce à J.L. Debré qu’il a rencontré un soir qu’il « tapait la manche », J.M. Roughol, à 47 ans, raconte son enfance chaotique, sa vie dans la rue, ses années de galère. Un personnage attachant,...
Par
le 13 févr. 2016
1 j'aime
Un ton juste dans un style à la fois direct, voire cru, mais poétique, souvent humoristique également, pour ces chroniques que Patrick Pelloux écrit dans Charlie Hebdo et illustrées de quelques...
Par
le 7 févr. 2016
1 j'aime
Une fille de 14 ans, vivant seule avec sa mère, découvre que cette dernière est atteinte d’un cancer du sein. Elles vont vivre et affronter ce drame, ces souffrances, le regard des autres, toutes les...
Par
le 15 mai 2016
