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Fulgurances
La liberté ne se marchande pas elle se prend. Charles Bukowski incarne cet adage à travers ses personnages…à travers son personnage. Pour commencer s’affranchir des codes qu’ils soient moraux (se...
Par
le 13 avr. 2020
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Critique Optionnelle
Que dire sinon que cette ode de la société américaine dans sa plus grande splendeur a du induire en moi un comportement déviant à la limite de l'acceptable socialement.
Jamais les sécrétions corporelles n'auront été aussi bien décrites. Lire ce livre c'est se vautrer dans la plus abjecte fange qu'il soit en toute conscience de cause et en osant y prendre du plaisir. Prenant la digne suite de John Fante, Bukowski a réussi le pari de casser la douce nature (je lâche un lol) de la puritaine Amérique du Nord à travers ses histoires scato-éthyliques.
Bordel ! J'aime son œuvre, même si c'était une saleté d'accroc aux courses hippiques doublé d'un facteur des PTT . On peut pas être bon partout.
Jamais les sécrétions corporelles n'auront été aussi bien décrites. Lire ce livre c'est se vautrer dans la plus abjecte fange qu'il soit en toute conscience de cause et en osant y prendre du plaisir. Prenant la digne suite de John Fante, Bukowski a réussi le pari de casser la douce nature (je lâche un lol) de la puritaine Amérique du Nord à travers ses histoires scato-éthyliques.
Bordel ! J'aime son œuvre, même si c'était une saleté d'accroc aux courses hippiques doublé d'un facteur des PTT . On peut pas être bon partout.
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le 7 mars 2011
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