Quand je vois des jeunes de 20 ans manifester dans les rues de Paris pour réclamer la protection de l'emploi, ou leurs ainés pour préserver leurs droites à la retraite à 55 ans (sic), je me sens brusquement glisser dans le camp des conservateurs américains, qui exècrent ces prérogatives intouchables. L'État n'est pas un pis dont on peut tirer du lait à tout bout de champ, même si beaucoup d'Européens paraissent le voir ainsi.
Précision de taille : l'auteur est Européen (Néerlandais).
J'ai lu ce paragraphe page 50. J'ai abandonné ce livre, pas inintéressant au demeurant, quelques dizaines de pages plus loin. L'Anglosaxonphilie de l'auteur m'est insupportable. Et je suis totalement passée à côté de son système de notes : ce n'est qu'après avoir abandonné le livre que j'ai compris qu'il y avait des notes!
Bref, je suis très déçue.J'étais persuadée d'apprécier ce livre, car la cause animale me préoccupe, et la domination de la seule espèce humaine sur toutes les autres espèces me terrifie.
Et l'empathie me semble bien être un outil génial pour vivre mieux !