L'actualité sur L'Antéchrist

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Carus Matryllion

a attribué 10/10 au livre

L'Antéchrist

Der Antichrist - Ecce homo

1888 • livre de Friedrich Nietzsche

Résumé : « Rien ne sert d'embellir et de farder le christianisme : il a livré une lutte à mort à ce type supérieur d'humanité, il a jeté l'anathème sur tous les instincts élémentaires de ce type. À partir de ces instincts, il a su distiller le mal, susciter le méchant : l'homme fort étant par définition celui que l'on réprouve, le «réprouvé». Le christianisme a pris le parti de tout ce qui est bas, vil, manqué, il a fait un idéal de l'opposition à l'instinct de conservation de la vie forte. Même aux natures les mieux armées intellectuellement, il a perverti la raison, en leur enseignant à ressentir les valeurs suprêmes de l'esprit comme entachées de péché, induisant en erreur, comme des tentations. Exemple le plus lamentable : la perversion de Pascal, qui croyait à la perversion de sa raison par le péché originel, alors qu'elle n'était pervertie que par son christianisme ! » Friedrich Nietzsche.

Kaliki

a attribué 7/10 au livre

L'Antéchrist

Der Antichrist - Ecce homo

1888 • livre de Friedrich Nietzsche

Résumé : « Rien ne sert d'embellir et de farder le christianisme : il a livré une lutte à mort à ce type supérieur d'humanité, il a jeté l'anathème sur tous les instincts élémentaires de ce type. À partir de ces instincts, il a su distiller le mal, susciter le méchant : l'homme fort étant par définition celui que l'on réprouve, le «réprouvé». Le christianisme a pris le parti de tout ce qui est bas, vil, manqué, il a fait un idéal de l'opposition à l'instinct de conservation de la vie forte. Même aux natures les mieux armées intellectuellement, il a perverti la raison, en leur enseignant à ressentir les valeurs suprêmes de l'esprit comme entachées de péché, induisant en erreur, comme des tentations. Exemple le plus lamentable : la perversion de Pascal, qui croyait à la perversion de sa raison par le péché originel, alors qu'elle n'était pervertie que par son christianisme ! » Friedrich Nietzsche.

Marc Grimaud

a attribué 9/10 au livre

L'Antéchrist

Der Antichrist - Ecce homo

1888 • livre de Friedrich Nietzsche

Résumé : « Rien ne sert d'embellir et de farder le christianisme : il a livré une lutte à mort à ce type supérieur d'humanité, il a jeté l'anathème sur tous les instincts élémentaires de ce type. À partir de ces instincts, il a su distiller le mal, susciter le méchant : l'homme fort étant par définition celui que l'on réprouve, le «réprouvé». Le christianisme a pris le parti de tout ce qui est bas, vil, manqué, il a fait un idéal de l'opposition à l'instinct de conservation de la vie forte. Même aux natures les mieux armées intellectuellement, il a perverti la raison, en leur enseignant à ressentir les valeurs suprêmes de l'esprit comme entachées de péché, induisant en erreur, comme des tentations. Exemple le plus lamentable : la perversion de Pascal, qui croyait à la perversion de sa raison par le péché originel, alors qu'elle n'était pervertie que par son christianisme ! » Friedrich Nietzsche.

DanChaos

a attribué 7/10 au livre

L'Antéchrist

Der Antichrist - Ecce homo

1888 • livre de Friedrich Nietzsche

Résumé : « Rien ne sert d'embellir et de farder le christianisme : il a livré une lutte à mort à ce type supérieur d'humanité, il a jeté l'anathème sur tous les instincts élémentaires de ce type. À partir de ces instincts, il a su distiller le mal, susciter le méchant : l'homme fort étant par définition celui que l'on réprouve, le «réprouvé». Le christianisme a pris le parti de tout ce qui est bas, vil, manqué, il a fait un idéal de l'opposition à l'instinct de conservation de la vie forte. Même aux natures les mieux armées intellectuellement, il a perverti la raison, en leur enseignant à ressentir les valeurs suprêmes de l'esprit comme entachées de péché, induisant en erreur, comme des tentations. Exemple le plus lamentable : la perversion de Pascal, qui croyait à la perversion de sa raison par le péché originel, alors qu'elle n'était pervertie que par son christianisme ! » Friedrich Nietzsche.

Mister40K

a attribué 7/10 au livre

L'Antéchrist

Der Antichrist - Ecce homo

1888 • livre de Friedrich Nietzsche

Résumé : « Rien ne sert d'embellir et de farder le christianisme : il a livré une lutte à mort à ce type supérieur d'humanité, il a jeté l'anathème sur tous les instincts élémentaires de ce type. À partir de ces instincts, il a su distiller le mal, susciter le méchant : l'homme fort étant par définition celui que l'on réprouve, le «réprouvé». Le christianisme a pris le parti de tout ce qui est bas, vil, manqué, il a fait un idéal de l'opposition à l'instinct de conservation de la vie forte. Même aux natures les mieux armées intellectuellement, il a perverti la raison, en leur enseignant à ressentir les valeurs suprêmes de l'esprit comme entachées de péché, induisant en erreur, comme des tentations. Exemple le plus lamentable : la perversion de Pascal, qui croyait à la perversion de sa raison par le péché originel, alors qu'elle n'était pervertie que par son christianisme ! » Friedrich Nietzsche.

Apocalypso

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L'Antéchrist

Der Antichrist - Ecce homo

1888 • livre de Friedrich Nietzsche

Résumé : « Rien ne sert d'embellir et de farder le christianisme : il a livré une lutte à mort à ce type supérieur d'humanité, il a jeté l'anathème sur tous les instincts élémentaires de ce type. À partir de ces instincts, il a su distiller le mal, susciter le méchant : l'homme fort étant par définition celui que l'on réprouve, le «réprouvé». Le christianisme a pris le parti de tout ce qui est bas, vil, manqué, il a fait un idéal de l'opposition à l'instinct de conservation de la vie forte. Même aux natures les mieux armées intellectuellement, il a perverti la raison, en leur enseignant à ressentir les valeurs suprêmes de l'esprit comme entachées de péché, induisant en erreur, comme des tentations. Exemple le plus lamentable : la perversion de Pascal, qui croyait à la perversion de sa raison par le péché originel, alors qu'elle n'était pervertie que par son christianisme ! » Friedrich Nietzsche.

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Sir Arnold de Wibengrad

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Garmonbozia_

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Résumé : « Rien ne sert d'embellir et de farder le christianisme : il a livré une lutte à mort à ce type supérieur d'humanité, il a jeté l'anathème sur tous les instincts élémentaires de ce type. À partir de ces instincts, il a su distiller le mal, susciter le méchant : l'homme fort étant par définition celui que l'on réprouve, le «réprouvé». Le christianisme a pris le parti de tout ce qui est bas, vil, manqué, il a fait un idéal de l'opposition à l'instinct de conservation de la vie forte. Même aux natures les mieux armées intellectuellement, il a perverti la raison, en leur enseignant à ressentir les valeurs suprêmes de l'esprit comme entachées de péché, induisant en erreur, comme des tentations. Exemple le plus lamentable : la perversion de Pascal, qui croyait à la perversion de sa raison par le péché originel, alors qu'elle n'était pervertie que par son christianisme ! » Friedrich Nietzsche.

DanChaos

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Mattéo Turro

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Résumé : « Rien ne sert d'embellir et de farder le christianisme : il a livré une lutte à mort à ce type supérieur d'humanité, il a jeté l'anathème sur tous les instincts élémentaires de ce type. À partir de ces instincts, il a su distiller le mal, susciter le méchant : l'homme fort étant par définition celui que l'on réprouve, le «réprouvé». Le christianisme a pris le parti de tout ce qui est bas, vil, manqué, il a fait un idéal de l'opposition à l'instinct de conservation de la vie forte. Même aux natures les mieux armées intellectuellement, il a perverti la raison, en leur enseignant à ressentir les valeurs suprêmes de l'esprit comme entachées de péché, induisant en erreur, comme des tentations. Exemple le plus lamentable : la perversion de Pascal, qui croyait à la perversion de sa raison par le péché originel, alors qu'elle n'était pervertie que par son christianisme ! » Friedrich Nietzsche.

julien_Cqz

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L'Antéchrist

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1888 • livre de Friedrich Nietzsche

Résumé : « Rien ne sert d'embellir et de farder le christianisme : il a livré une lutte à mort à ce type supérieur d'humanité, il a jeté l'anathème sur tous les instincts élémentaires de ce type. À partir de ces instincts, il a su distiller le mal, susciter le méchant : l'homme fort étant par définition celui que l'on réprouve, le «réprouvé». Le christianisme a pris le parti de tout ce qui est bas, vil, manqué, il a fait un idéal de l'opposition à l'instinct de conservation de la vie forte. Même aux natures les mieux armées intellectuellement, il a perverti la raison, en leur enseignant à ressentir les valeurs suprêmes de l'esprit comme entachées de péché, induisant en erreur, comme des tentations. Exemple le plus lamentable : la perversion de Pascal, qui croyait à la perversion de sa raison par le péché originel, alors qu'elle n'était pervertie que par son christianisme ! » Friedrich Nietzsche.

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Otnipol

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r2phl

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Ludoo

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1888 • livre de Friedrich Nietzsche

Résumé : « Rien ne sert d'embellir et de farder le christianisme : il a livré une lutte à mort à ce type supérieur d'humanité, il a jeté l'anathème sur tous les instincts élémentaires de ce type. À partir de ces instincts, il a su distiller le mal, susciter le méchant : l'homme fort étant par définition celui que l'on réprouve, le «réprouvé». Le christianisme a pris le parti de tout ce qui est bas, vil, manqué, il a fait un idéal de l'opposition à l'instinct de conservation de la vie forte. Même aux natures les mieux armées intellectuellement, il a perverti la raison, en leur enseignant à ressentir les valeurs suprêmes de l'esprit comme entachées de péché, induisant en erreur, comme des tentations. Exemple le plus lamentable : la perversion de Pascal, qui croyait à la perversion de sa raison par le péché originel, alors qu'elle n'était pervertie que par son christianisme ! » Friedrich Nietzsche.

Corpsetbiens

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Zynischt

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