Un jour je m'envolerai à dos de chameau manger des fajitas avec des dauphins et on dansera toute ...
6 parce que c'est Vian, et que si j'enlève le nombre de lettre de son nom à la note dix, ça fait 6.
Non sans déconner. Il faudrait un mode d'emploi avant de commencer ce petit récit ubuesque, avec le nombre de whisky minimum à consommer.
Il y a bien une queue : Des personnes vont se retrouver pour construire un chemin de fer. Dans le desert. Qui ne ménera nul part. Bon jusque là c'est sympa parce que c'est Boris. Il y a bien une tête : les survivants repartent chez eux, le chemin de fer lui n'a pas aboutit, il est démoli.
Voila ce que j'ai pu retenir avec les (quelques) pages que j'ai sauté. Parce que l'écriture est carrément incomprehensible. Ce n'est pas captivant. Ca saute du coq à l'ane, sans aucun rapport. Une petite voix intérieure ponctuait chaque fin de ligne par un retentissant "Ouai, pourquoi pas".
D'accord c'est une oeuvre surréaliste(?), mais je n'ai pas trop cerné ce qu'elle voulait dégager, ou meme vraiment les sujets qu'elle abordait ... la poesie n'est presque pas évidente.
Peut etre qu'un jour pour m'éclairer je relirai plus attentivement cette oeuvre et en sachant dans quel contexte elle a été ecrite. Enfin bref c'est compliqué.
Cependant il en faut pour permettre à l'imagination d'exulter et au reste d'exister. Alors merci quand meme !