L'actualité sur L'Avalée des avalés

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Effgé

a attribué 8/10 au livre

L'Avalée des avalés

1966 • livre de Réjean Ducharme

Résumé : «Tout m'avale... Je suis avalée par le fleuve trop grand, par le ciel trop haut, par les fleurs trop fragiles, par les papillons trop craintifs, par le visage trop beau de ma mère...» Les enfants en mènent large. Ils peuvent dire pis qu'aimer, pis que pendre. Ils ont tous les droits. Entre vingt et vingt-trois ans (l'âge de ce roman), on a toutes les lois, toutes en mêmes temps. Si on est doué, on les apprend. Si on est pas content, on se déprend, en se souvenant, en imaginant.

Mi_

a envie de lire le livre

Ecce

a attribué 7/10 au livre

L'Avalée des avalés

1966 • livre de Réjean Ducharme

Résumé : «Tout m'avale... Je suis avalée par le fleuve trop grand, par le ciel trop haut, par les fleurs trop fragiles, par les papillons trop craintifs, par le visage trop beau de ma mère...» Les enfants en mènent large. Ils peuvent dire pis qu'aimer, pis que pendre. Ils ont tous les droits. Entre vingt et vingt-trois ans (l'âge de ce roman), on a toutes les lois, toutes en mêmes temps. Si on est doué, on les apprend. Si on est pas content, on se déprend, en se souvenant, en imaginant.

Baud

a attribué 8/10 au livre

L'Avalée des avalés

1966 • livre de Réjean Ducharme

Résumé : «Tout m'avale... Je suis avalée par le fleuve trop grand, par le ciel trop haut, par les fleurs trop fragiles, par les papillons trop craintifs, par le visage trop beau de ma mère...» Les enfants en mènent large. Ils peuvent dire pis qu'aimer, pis que pendre. Ils ont tous les droits. Entre vingt et vingt-trois ans (l'âge de ce roman), on a toutes les lois, toutes en mêmes temps. Si on est doué, on les apprend. Si on est pas content, on se déprend, en se souvenant, en imaginant.

Behuliphruen

a attribué 8/10 au livre

L'Avalée des avalés

1966 • livre de Réjean Ducharme

Résumé : «Tout m'avale... Je suis avalée par le fleuve trop grand, par le ciel trop haut, par les fleurs trop fragiles, par les papillons trop craintifs, par le visage trop beau de ma mère...» Les enfants en mènent large. Ils peuvent dire pis qu'aimer, pis que pendre. Ils ont tous les droits. Entre vingt et vingt-trois ans (l'âge de ce roman), on a toutes les lois, toutes en mêmes temps. Si on est doué, on les apprend. Si on est pas content, on se déprend, en se souvenant, en imaginant.

Toni_Volaille

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L'Avalée des avalés

1966 • livre de Réjean Ducharme

Résumé : «Tout m'avale... Je suis avalée par le fleuve trop grand, par le ciel trop haut, par les fleurs trop fragiles, par les papillons trop craintifs, par le visage trop beau de ma mère...» Les enfants en mènent large. Ils peuvent dire pis qu'aimer, pis que pendre. Ils ont tous les droits. Entre vingt et vingt-trois ans (l'âge de ce roman), on a toutes les lois, toutes en mêmes temps. Si on est doué, on les apprend. Si on est pas content, on se déprend, en se souvenant, en imaginant.

Essence-Fondamentale

a recommandé le livre

et lui a attribué 9/10

L'Avalée des avalés

1966 • livre de Réjean Ducharme

Résumé : «Tout m'avale... Je suis avalée par le fleuve trop grand, par le ciel trop haut, par les fleurs trop fragiles, par les papillons trop craintifs, par le visage trop beau de ma mère...» Les enfants en mènent large. Ils peuvent dire pis qu'aimer, pis que pendre. Ils ont tous les droits. Entre vingt et vingt-trois ans (l'âge de ce roman), on a toutes les lois, toutes en mêmes temps. Si on est doué, on les apprend. Si on est pas content, on se déprend, en se souvenant, en imaginant.

elender

a attribué 8/10 au livre

L'Avalée des avalés

1966 • livre de Réjean Ducharme

Résumé : «Tout m'avale... Je suis avalée par le fleuve trop grand, par le ciel trop haut, par les fleurs trop fragiles, par les papillons trop craintifs, par le visage trop beau de ma mère...» Les enfants en mènent large. Ils peuvent dire pis qu'aimer, pis que pendre. Ils ont tous les droits. Entre vingt et vingt-trois ans (l'âge de ce roman), on a toutes les lois, toutes en mêmes temps. Si on est doué, on les apprend. Si on est pas content, on se déprend, en se souvenant, en imaginant.