C’est mon tome préféré. On reprend l’histoire de la Sélection, mais notre héroïne hésite moins, elle est plus forte et même si elle a un sale caractère on l’aime bien quand même. Il y a un peu plus d’actions, de l’émotion et enfin une dimension politique au premier plan. C’est ce que j’attendais le plus. Parce que bon les frous-frous, le bling-bling, et les amourettes de télé réalité, c’est pas tellement mon truc. America et Maxon apprennent les arcanes du pouvoir dans le dos du Roi et de la Reine mais toujours pour une bonne cause : le peuple et leur pays. C’est étonnant pour des personnages aussi immatures, mais why not !
Parfois les rebondissements tombent un peu comme un cheveux sur la soupe, mais qu’importe le rythme est mieux géré que dans les précédents.
Bon, soyons franc c’est pas réaliste du tout, mais est-ce le but ? Il faut prendre le livre pour ce qu’il est : un bon moment de détente. Certes ce livre, tout comme la trilogie, n’est pas parfaite, ce n’est pas la meilleure dystopie du marché, mais il a son charme.