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L'Être et l'Essence

1948 • livre de Étienne Gilson

Résumé : C’est avec la publication de l’être et l’essence (1948) que Gilson fit véritablement irruption dans le débat philosophique contemporain, contraignant beaucoup de ceux qui n’avaient jamais entendu parler de l’être autrement qu’à travers l’être et le néant ou le premier chapitre de Wissenschaft der Logik, à admettre que ce petit mot “être”, qu’une certaine tradition idéaliste avait vainement tenté de bannir du vocabulaire philosophique, abritait, sinon peut-être “le destin de l’Occident”, du moins le lieu d’une de ses plus anciennes et plus constantes querelles. Beaucoup se convainquirent alors, en lisant Gilson, que Saint Thomas occupait dans ce débat une place à tout le moins originale et importante, qu’il n’était plus permis d’ignorer, même et surtout si l’on voulait prendre parti dans la polémique que menait alors l’existentialisme contre l’essentialisme supposé de toute la tradition.

Venomesque

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Venomesque

Un pote me l'a passé justement...Hervé Pasqua m'a dit qu'il fallait absolument le lire alors je vais m'y mettre dès que possible. Il est assez clair ?

Le 28 mars 2024

Pikbilis_

Quand il est clair il est clair.

Le 28 mars 2024

Venomesque

D'accord ça me rassure ! ^^

Le 29 mars 2024

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abscondita

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L'Être et l'Essence

1948 • livre de Étienne Gilson

Résumé : C’est avec la publication de l’être et l’essence (1948) que Gilson fit véritablement irruption dans le débat philosophique contemporain, contraignant beaucoup de ceux qui n’avaient jamais entendu parler de l’être autrement qu’à travers l’être et le néant ou le premier chapitre de Wissenschaft der Logik, à admettre que ce petit mot “être”, qu’une certaine tradition idéaliste avait vainement tenté de bannir du vocabulaire philosophique, abritait, sinon peut-être “le destin de l’Occident”, du moins le lieu d’une de ses plus anciennes et plus constantes querelles. Beaucoup se convainquirent alors, en lisant Gilson, que Saint Thomas occupait dans ce débat une place à tout le moins originale et importante, qu’il n’était plus permis d’ignorer, même et surtout si l’on voulait prendre parti dans la polémique que menait alors l’existentialisme contre l’essentialisme supposé de toute la tradition.

Pikbilis

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Résumé : C’est avec la publication de l’être et l’essence (1948) que Gilson fit véritablement irruption dans le débat philosophique contemporain, contraignant beaucoup de ceux qui n’avaient jamais entendu parler de l’être autrement qu’à travers l’être et le néant ou le premier chapitre de Wissenschaft der Logik, à admettre que ce petit mot “être”, qu’une certaine tradition idéaliste avait vainement tenté de bannir du vocabulaire philosophique, abritait, sinon peut-être “le destin de l’Occident”, du moins le lieu d’une de ses plus anciennes et plus constantes querelles. Beaucoup se convainquirent alors, en lisant Gilson, que Saint Thomas occupait dans ce débat une place à tout le moins originale et importante, qu’il n’était plus permis d’ignorer, même et surtout si l’on voulait prendre parti dans la polémique que menait alors l’existentialisme contre l’essentialisme supposé de toute la tradition.

Neihou

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Résumé : C’est avec la publication de l’être et l’essence (1948) que Gilson fit véritablement irruption dans le débat philosophique contemporain, contraignant beaucoup de ceux qui n’avaient jamais entendu parler de l’être autrement qu’à travers l’être et le néant ou le premier chapitre de Wissenschaft der Logik, à admettre que ce petit mot “être”, qu’une certaine tradition idéaliste avait vainement tenté de bannir du vocabulaire philosophique, abritait, sinon peut-être “le destin de l’Occident”, du moins le lieu d’une de ses plus anciennes et plus constantes querelles. Beaucoup se convainquirent alors, en lisant Gilson, que Saint Thomas occupait dans ce débat une place à tout le moins originale et importante, qu’il n’était plus permis d’ignorer, même et surtout si l’on voulait prendre parti dans la polémique que menait alors l’existentialisme contre l’essentialisme supposé de toute la tradition.

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