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1872 • livre de Ernest Hello
Résumé : L'œuvre d'Ernest Hello possède des accents prophétiques et mystiques indéniables. Toute sa vie durant, il combattit l'habitude, cette plaie au nom de laquelle on justifie n'importe quoi. Il s'acharna également contre le scientisme de son siècle, et fustigea, souvent avec humour, celui qu'il appelait « l'homme médiocre ». Mais le grand combat d'Ernest Hello, selon R. Gazeau, fut de « ramener l'art, au nom de l'unité, à l'expression de la beauté incrée ». En 1872, il fit paraître L'Homme, son chef-d'œuvre, réédité une quarantaine de fois jusqu'en 1939. Il traduisit aussi des textes d'Angèle de Foligno (1868) et de Rusbrock (1869). Léon Bloy le considérait comme un maître. Jules Barbey d'Aurevilly et Louis Veuillot lui doivent beaucoup, tout comme le mouvement symboliste français de la fin du XIXe siècle. Hello est décédé en 1885, dans la pauvreté, ignoré de ses contemporains.
1872 • livre de Ernest Hello
Résumé : L'œuvre d'Ernest Hello possède des accents prophétiques et mystiques indéniables. Toute sa vie durant, il combattit l'habitude, cette plaie au nom de laquelle on justifie n'importe quoi. Il s'acharna également contre le scientisme de son siècle, et fustigea, souvent avec humour, celui qu'il appelait « l'homme médiocre ». Mais le grand combat d'Ernest Hello, selon R. Gazeau, fut de « ramener l'art, au nom de l'unité, à l'expression de la beauté incrée ». En 1872, il fit paraître L'Homme, son chef-d'œuvre, réédité une quarantaine de fois jusqu'en 1939. Il traduisit aussi des textes d'Angèle de Foligno (1868) et de Rusbrock (1869). Léon Bloy le considérait comme un maître. Jules Barbey d'Aurevilly et Louis Veuillot lui doivent beaucoup, tout comme le mouvement symboliste français de la fin du XIXe siècle. Hello est décédé en 1885, dans la pauvreté, ignoré de ses contemporains.
1872 • livre de Ernest Hello
Résumé : L'œuvre d'Ernest Hello possède des accents prophétiques et mystiques indéniables. Toute sa vie durant, il combattit l'habitude, cette plaie au nom de laquelle on justifie n'importe quoi. Il s'acharna également contre le scientisme de son siècle, et fustigea, souvent avec humour, celui qu'il appelait « l'homme médiocre ». Mais le grand combat d'Ernest Hello, selon R. Gazeau, fut de « ramener l'art, au nom de l'unité, à l'expression de la beauté incrée ». En 1872, il fit paraître L'Homme, son chef-d'œuvre, réédité une quarantaine de fois jusqu'en 1939. Il traduisit aussi des textes d'Angèle de Foligno (1868) et de Rusbrock (1869). Léon Bloy le considérait comme un maître. Jules Barbey d'Aurevilly et Louis Veuillot lui doivent beaucoup, tout comme le mouvement symboliste français de la fin du XIXe siècle. Hello est décédé en 1885, dans la pauvreté, ignoré de ses contemporains.
1872 • livre de Ernest Hello
Résumé : L'œuvre d'Ernest Hello possède des accents prophétiques et mystiques indéniables. Toute sa vie durant, il combattit l'habitude, cette plaie au nom de laquelle on justifie n'importe quoi. Il s'acharna également contre le scientisme de son siècle, et fustigea, souvent avec humour, celui qu'il appelait « l'homme médiocre ». Mais le grand combat d'Ernest Hello, selon R. Gazeau, fut de « ramener l'art, au nom de l'unité, à l'expression de la beauté incrée ». En 1872, il fit paraître L'Homme, son chef-d'œuvre, réédité une quarantaine de fois jusqu'en 1939. Il traduisit aussi des textes d'Angèle de Foligno (1868) et de Rusbrock (1869). Léon Bloy le considérait comme un maître. Jules Barbey d'Aurevilly et Louis Veuillot lui doivent beaucoup, tout comme le mouvement symboliste français de la fin du XIXe siècle. Hello est décédé en 1885, dans la pauvreté, ignoré de ses contemporains.
Le 21 sept. 2022
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Le 25 avr. 2021
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