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L'Idée fixe

1933 • livre de Paul Valéry

Résumé : « J'étais en proie à de grands tourments ; quelques pensées très actives et très aiguës me gâtaient tout le reste de l'esprit et du monde. Rien ne pouvait me distraire de mon mal que je n'y revinsse plus éperdument. Il s'y ajoutait l'amertume et l'humiliation de me sentir vaincu par des choses mentales, c'est-à-dire, faites pour l'oubli. L'espèce de douleur qui a une pensée pour une cause apparente entretient cette pensée même ; et par là, s'engendre, s'éternise, se renforce elle-même. Davantage : elle se perfectionne en quelque manière ; se fait toujours plus subtile, plus habile, plus puissante, plus inventive, plus inattaquable. Une pensée qui torture un homme échappe aux conditions de la pensée ; devient un autre, un parasite. »

chatoncha

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fanierel

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et lui a attribué 7/10

L'Idée fixe

1933 • livre de Paul Valéry

Résumé : « J'étais en proie à de grands tourments ; quelques pensées très actives et très aiguës me gâtaient tout le reste de l'esprit et du monde. Rien ne pouvait me distraire de mon mal que je n'y revinsse plus éperdument. Il s'y ajoutait l'amertume et l'humiliation de me sentir vaincu par des choses mentales, c'est-à-dire, faites pour l'oubli. L'espèce de douleur qui a une pensée pour une cause apparente entretient cette pensée même ; et par là, s'engendre, s'éternise, se renforce elle-même. Davantage : elle se perfectionne en quelque manière ; se fait toujours plus subtile, plus habile, plus puissante, plus inventive, plus inattaquable. Une pensée qui torture un homme échappe aux conditions de la pensée ; devient un autre, un parasite. »

Fiiiou

a attribué 8/10 au livre

L'Idée fixe

1933 • livre de Paul Valéry

Résumé : « J'étais en proie à de grands tourments ; quelques pensées très actives et très aiguës me gâtaient tout le reste de l'esprit et du monde. Rien ne pouvait me distraire de mon mal que je n'y revinsse plus éperdument. Il s'y ajoutait l'amertume et l'humiliation de me sentir vaincu par des choses mentales, c'est-à-dire, faites pour l'oubli. L'espèce de douleur qui a une pensée pour une cause apparente entretient cette pensée même ; et par là, s'engendre, s'éternise, se renforce elle-même. Davantage : elle se perfectionne en quelque manière ; se fait toujours plus subtile, plus habile, plus puissante, plus inventive, plus inattaquable. Une pensée qui torture un homme échappe aux conditions de la pensée ; devient un autre, un parasite. »

Fiiiou

a attribué 9/10 au livre

L'Idée fixe

1933 • livre de Paul Valéry

Résumé : « J'étais en proie à de grands tourments ; quelques pensées très actives et très aiguës me gâtaient tout le reste de l'esprit et du monde. Rien ne pouvait me distraire de mon mal que je n'y revinsse plus éperdument. Il s'y ajoutait l'amertume et l'humiliation de me sentir vaincu par des choses mentales, c'est-à-dire, faites pour l'oubli. L'espèce de douleur qui a une pensée pour une cause apparente entretient cette pensée même ; et par là, s'engendre, s'éternise, se renforce elle-même. Davantage : elle se perfectionne en quelque manière ; se fait toujours plus subtile, plus habile, plus puissante, plus inventive, plus inattaquable. Une pensée qui torture un homme échappe aux conditions de la pensée ; devient un autre, un parasite. »

Lannistark

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L'Idée fixe

1933 • livre de Paul Valéry

Résumé : « J'étais en proie à de grands tourments ; quelques pensées très actives et très aiguës me gâtaient tout le reste de l'esprit et du monde. Rien ne pouvait me distraire de mon mal que je n'y revinsse plus éperdument. Il s'y ajoutait l'amertume et l'humiliation de me sentir vaincu par des choses mentales, c'est-à-dire, faites pour l'oubli. L'espèce de douleur qui a une pensée pour une cause apparente entretient cette pensée même ; et par là, s'engendre, s'éternise, se renforce elle-même. Davantage : elle se perfectionne en quelque manière ; se fait toujours plus subtile, plus habile, plus puissante, plus inventive, plus inattaquable. Une pensée qui torture un homme échappe aux conditions de la pensée ; devient un autre, un parasite. »

Clémentine Cougnaud

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L'Idée fixe

1933 • livre de Paul Valéry

Résumé : « J'étais en proie à de grands tourments ; quelques pensées très actives et très aiguës me gâtaient tout le reste de l'esprit et du monde. Rien ne pouvait me distraire de mon mal que je n'y revinsse plus éperdument. Il s'y ajoutait l'amertume et l'humiliation de me sentir vaincu par des choses mentales, c'est-à-dire, faites pour l'oubli. L'espèce de douleur qui a une pensée pour une cause apparente entretient cette pensée même ; et par là, s'engendre, s'éternise, se renforce elle-même. Davantage : elle se perfectionne en quelque manière ; se fait toujours plus subtile, plus habile, plus puissante, plus inventive, plus inattaquable. Une pensée qui torture un homme échappe aux conditions de la pensée ; devient un autre, un parasite. »

Mjolnir37

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JoffreyV

a attribué 8/10 au livre

L'Idée fixe

1933 • livre de Paul Valéry

Résumé : « J'étais en proie à de grands tourments ; quelques pensées très actives et très aiguës me gâtaient tout le reste de l'esprit et du monde. Rien ne pouvait me distraire de mon mal que je n'y revinsse plus éperdument. Il s'y ajoutait l'amertume et l'humiliation de me sentir vaincu par des choses mentales, c'est-à-dire, faites pour l'oubli. L'espèce de douleur qui a une pensée pour une cause apparente entretient cette pensée même ; et par là, s'engendre, s'éternise, se renforce elle-même. Davantage : elle se perfectionne en quelque manière ; se fait toujours plus subtile, plus habile, plus puissante, plus inventive, plus inattaquable. Une pensée qui torture un homme échappe aux conditions de la pensée ; devient un autre, un parasite. »

mcodo

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