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meggysawyer

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Henry Miller, mon Amour.

L'oeil qui voyage

livre de Henry Miller

Résumé : Il ne faudrait pas croire qu'Henry Miller fut un grand voyageur. Ses pôles d'intérêt n'ont jamais changé : la France, la Grèce, Brooklyn où il est né et la Californie où il et mort. Dans L'Oeil qui voyage, un recueil composé de cinq récits, Henry Miller révèle plusieurs facettes de ce que fut pour lui le voyage : la voyage picaresque , le voyage raté et le voyage intérieur. Le récit liminaire Dérives aux Everglades, prétexte à un voyage en Floride, préfigure avec presque 40 ans d'avance les équipées rocambolesques de Jack Kerouac. La Tarte lumineuse -titre que Henry Miller emprunte à Céline - raconte la douche froide qu'est le retour en Amérique. Miller attaque férocement cette machine colossale et insensée qu'est devenue l'Amérique. Il pose une question plus que jamais d'actualité : « L'Amérique détruira-t-elle le monde ou l'Amérique sera-t-elle détruite ? » Une lettre et Le Pont de Brooklyn sont d'excellentes illustrations du voyage intérieur. Dans le premier cas, l'oeuvre d'un peintre ami servira de tremplin à la réflexion : le Monde est-il un tableau ? Le Pont de Brooklyn est un grand texte rimbaldien, un texte de voyant : « Toute ma vie, je me suis senti une grande parenté avec les fous et les assassins. » Le fameux pont de Brooklyn devient le symbole d'une médiation sur la mort. Rester sur le pont, ne pas le quitter et oublier qu'il existe une autre vie.

meanoxx

a attribué 7/10 au livre

L'oeil qui voyage

livre de Henry Miller

Résumé : Il ne faudrait pas croire qu'Henry Miller fut un grand voyageur. Ses pôles d'intérêt n'ont jamais changé : la France, la Grèce, Brooklyn où il est né et la Californie où il et mort. Dans L'Oeil qui voyage, un recueil composé de cinq récits, Henry Miller révèle plusieurs facettes de ce que fut pour lui le voyage : la voyage picaresque , le voyage raté et le voyage intérieur. Le récit liminaire Dérives aux Everglades, prétexte à un voyage en Floride, préfigure avec presque 40 ans d'avance les équipées rocambolesques de Jack Kerouac. La Tarte lumineuse -titre que Henry Miller emprunte à Céline - raconte la douche froide qu'est le retour en Amérique. Miller attaque férocement cette machine colossale et insensée qu'est devenue l'Amérique. Il pose une question plus que jamais d'actualité : « L'Amérique détruira-t-elle le monde ou l'Amérique sera-t-elle détruite ? » Une lettre et Le Pont de Brooklyn sont d'excellentes illustrations du voyage intérieur. Dans le premier cas, l'oeuvre d'un peintre ami servira de tremplin à la réflexion : le Monde est-il un tableau ? Le Pont de Brooklyn est un grand texte rimbaldien, un texte de voyant : « Toute ma vie, je me suis senti une grande parenté avec les fous et les assassins. » Le fameux pont de Brooklyn devient le symbole d'une médiation sur la mort. Rester sur le pont, ne pas le quitter et oublier qu'il existe une autre vie.

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Aurélie Perrier

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L'oeil qui voyage

livre de Henry Miller

Résumé : Il ne faudrait pas croire qu'Henry Miller fut un grand voyageur. Ses pôles d'intérêt n'ont jamais changé : la France, la Grèce, Brooklyn où il est né et la Californie où il et mort. Dans L'Oeil qui voyage, un recueil composé de cinq récits, Henry Miller révèle plusieurs facettes de ce que fut pour lui le voyage : la voyage picaresque , le voyage raté et le voyage intérieur. Le récit liminaire Dérives aux Everglades, prétexte à un voyage en Floride, préfigure avec presque 40 ans d'avance les équipées rocambolesques de Jack Kerouac. La Tarte lumineuse -titre que Henry Miller emprunte à Céline - raconte la douche froide qu'est le retour en Amérique. Miller attaque férocement cette machine colossale et insensée qu'est devenue l'Amérique. Il pose une question plus que jamais d'actualité : « L'Amérique détruira-t-elle le monde ou l'Amérique sera-t-elle détruite ? » Une lettre et Le Pont de Brooklyn sont d'excellentes illustrations du voyage intérieur. Dans le premier cas, l'oeuvre d'un peintre ami servira de tremplin à la réflexion : le Monde est-il un tableau ? Le Pont de Brooklyn est un grand texte rimbaldien, un texte de voyant : « Toute ma vie, je me suis senti une grande parenté avec les fous et les assassins. » Le fameux pont de Brooklyn devient le symbole d'une médiation sur la mort. Rester sur le pont, ne pas le quitter et oublier qu'il existe une autre vie.

ManGranD

a attribué 7/10 au livre

L'oeil qui voyage

livre de Henry Miller

Résumé : Il ne faudrait pas croire qu'Henry Miller fut un grand voyageur. Ses pôles d'intérêt n'ont jamais changé : la France, la Grèce, Brooklyn où il est né et la Californie où il et mort. Dans L'Oeil qui voyage, un recueil composé de cinq récits, Henry Miller révèle plusieurs facettes de ce que fut pour lui le voyage : la voyage picaresque , le voyage raté et le voyage intérieur. Le récit liminaire Dérives aux Everglades, prétexte à un voyage en Floride, préfigure avec presque 40 ans d'avance les équipées rocambolesques de Jack Kerouac. La Tarte lumineuse -titre que Henry Miller emprunte à Céline - raconte la douche froide qu'est le retour en Amérique. Miller attaque férocement cette machine colossale et insensée qu'est devenue l'Amérique. Il pose une question plus que jamais d'actualité : « L'Amérique détruira-t-elle le monde ou l'Amérique sera-t-elle détruite ? » Une lettre et Le Pont de Brooklyn sont d'excellentes illustrations du voyage intérieur. Dans le premier cas, l'oeuvre d'un peintre ami servira de tremplin à la réflexion : le Monde est-il un tableau ? Le Pont de Brooklyn est un grand texte rimbaldien, un texte de voyant : « Toute ma vie, je me suis senti une grande parenté avec les fous et les assassins. » Le fameux pont de Brooklyn devient le symbole d'une médiation sur la mort. Rester sur le pont, ne pas le quitter et oublier qu'il existe une autre vie.

Interzone__

a attribué 7/10 au livre

L'oeil qui voyage

livre de Henry Miller

Résumé : Il ne faudrait pas croire qu'Henry Miller fut un grand voyageur. Ses pôles d'intérêt n'ont jamais changé : la France, la Grèce, Brooklyn où il est né et la Californie où il et mort. Dans L'Oeil qui voyage, un recueil composé de cinq récits, Henry Miller révèle plusieurs facettes de ce que fut pour lui le voyage : la voyage picaresque , le voyage raté et le voyage intérieur. Le récit liminaire Dérives aux Everglades, prétexte à un voyage en Floride, préfigure avec presque 40 ans d'avance les équipées rocambolesques de Jack Kerouac. La Tarte lumineuse -titre que Henry Miller emprunte à Céline - raconte la douche froide qu'est le retour en Amérique. Miller attaque férocement cette machine colossale et insensée qu'est devenue l'Amérique. Il pose une question plus que jamais d'actualité : « L'Amérique détruira-t-elle le monde ou l'Amérique sera-t-elle détruite ? » Une lettre et Le Pont de Brooklyn sont d'excellentes illustrations du voyage intérieur. Dans le premier cas, l'oeuvre d'un peintre ami servira de tremplin à la réflexion : le Monde est-il un tableau ? Le Pont de Brooklyn est un grand texte rimbaldien, un texte de voyant : « Toute ma vie, je me suis senti une grande parenté avec les fous et les assassins. » Le fameux pont de Brooklyn devient le symbole d'une médiation sur la mort. Rester sur le pont, ne pas le quitter et oublier qu'il existe une autre vie.