Fiche technique

Auteur :

Pierre Pelot / Pierre Suragne
Genre : RomanDate de publication (France) : septembre 2008Langue d'origine : FrançaisParution France : septembre 2008

Éditeurs :

Pocket, Éditions Héloïse d'Ormesson
ISBN : 9782350870267, 9782266160896

Résumé : De la Lorraine à la Louisiane, de la petite sauvageonne à la femme jamais domestiquée, le nouveau Pelot nous conte une destinée dans la tradition de Dumas ou Tolsoï. C'est dans une pâture des Ordons du Haut au coeur des Vosges qu'Esdeline Favier rencontre Cauvin «son presque cousin». Celui-ci rêve d'Amériques, l'initie à la lecture. Mais cette innocente séduction entre deux enfants se voit bouleversé suite au meurtre d'un parent. Espérant retrouver l'anonymat d'une nouvelle vie, ils embarquent pour les Amériques. Ensemble tout d'abord, puis chacun sur un bateau différent pour plus de sûreté. De 1733 à 1766, Esdeline franchit les mers, affronte les barrières linguistiques et culturelles (des Hurons aux Wolofs) et brave tous les dangers qui jalonnent sa route dans l'espoir de retrouver son aimé. Avant de rebrousser subitement chemin au nom de l'amour et de la vengeance et de revenir sur les rives de la Moselle pour que justice soit faite. Avec cette épopée au féminin, Pierre Pelot signe son livre le plus abouti, une histoire d'amour où l'honneur tient son rang. L'ombre des voyageuses est une invitation au voyage, à une aventure contre vent et marée, qui se lit d'une traite. La belle Esdeline Favier, femme inclassable affiche la trempe des grandes héroïnes mythiques. «Ils m'ont appelée la Rouge Bête, ce n'était pas méchantement.» Né en 1945, Pierre Grosdemange, alias Pierre Pelot (petit Pierre en vosgien) est l'auteur de plus de 180 livres (du polar à la SF en passant par la BD), dont notamment L'ÿté en pente douce, Le Pacte des loups, Natural Killer, C'est ainsi que les hommes vivent et plus récemment de Méchamment dimanche. Il habite depuis 60 ans St-Maurice-sur-Moselle.Extrait du livre:DE CET ENDROIT SOUS LA LISIÿRE, on n'apercevait rien du creux profond de la vallée où se trouvaient les maisons; l'inclinaison de la pente était tro