Je l’ai dévoré, bouffé, absorbé. Et peut-être est-ce lui qui m’a dévorée, bouffée, absorbée ?
J’ai découvert ce qu’était la symbiose entre lecteur et lecture. Ce livre était et est toujours fait pour moi, comme s’il m’avait attendue – je me suis sentie comme Daniel dans le Cimetière des Livres Oubliés quand il tombe lui aussi sur un livre titré « L’ombre du vent », ce livre qui semble l’avoir attendu des années dans l’ombre.
Un pur chef d'oeuvre qui a grandement participé à la lectrice que je suis aujourd'hui.
Ma chronique : Coups de coeur et relecture