Les sens cachés des mots dans nos paroles

Les sens cachés des mots dans nos paroles

Le titre de l’œuvre est L’usage de la parole de Nathalie Sarraute. C’est une autrice d’origine russe qui est née en 1900 et qui est morte en 1999. L’usage de la parole est publié en 1980 . Le livre a été reçu de manière positive de la part du public puisque les spectateurs ont beaucoup appréciés le fait qu’elle donne de l’importance aux non-dits et aux tensions cachées dans les conversations.

Le livre traite principalement les difficultés de communication ainsi que les interactions entre les personnes. Nathalie Sarraute étudie dans son œuvre comment les mots utilisés entre les gens lorsqu’ils parlent entre eux peuvent avoir des sens différents et elle montre aussi que cela peut arriver avec juste des phrases ou des mots très simples. Ce n’est pas une histoire mais plutôt des moments où les gens échangent et où ces échanges présentent parfois des conflits cachés ou encore des malentendus.

C’est un texte particulier, qui ne m’a pas touché personnellement. Tout d’abord de nombreux éléments m’ont posé problème dans cette œuvre., en effet elle a style d’écriture qui est vraiment difficile à lire ce qui entraîne une difficulté de compréhension du texte et puis Nathalie Sarraute a des réflexions qui sont très complexe ainsi avec la complexité de son écriture on a du mal à cerner le but global des toutes ses réflexions. Nathalie Sarraute a parfois une idée bien précise dans ces interprétations de phrases ou de mots ce qui fait que parfois elle s’éparpille dans son explication et je trouve cela très perturbant par exemple, dans le passage “Ton père. Ta sœur” la phrase qu’elle explique est “Si tu continues, Armand, ton père va préférer ta sœur”. Dans cet extrait, elle pose sa réflexion sur les mots “ton père” et “ta sœur” qui pour elle cache une autre intention mais qui n’est pas forcément consciente. Elle part sur plusieurs idées de ces deux mots pour au final revenir sur les autres mots de la phrase “Si tu continues” et “va préférer” et donc ne même pas parler de leurs potentiels sens cachés. Je trouve cela un peu décevant puisque nous nous focalisons sur ces mots qui sont plus violents que “ton père” et “ta soeur” et qui sont tout de même prononcé par une mère de famille à son fils. De plus ce livre il y a une absence de narration classique c’est-à-dire qu’il n’y a pas d’histoire Par l’absence d’histoire et de personnages il m’est impossible de m’identifier à l’un d’entre eux. En effet, elle utilise des personnages de la vie quotidienne mais on n’a aucune idée de leur personnalité, de leur prénom, de leur âge de qui ils sont réellement. En ce qui me concerne, je préfère quand il y a des descriptions et l’idée d’avoir une attache pour un personnage en particulier. Il y a aussi peu d’éléments narratifs et il y a un problème pour imaginer une histoire et il s’agit principalement d’une réflexion. Et enfin un dernier élément qui m’a posé problème c’est qu’il n’y a aucune action ce qui rend le récit beaucoup trop monotone. Toutefois, il y a une chose qui m’a plu c’est le fait que Nathalie Sarraute nous expose des interprétations propre à chaque personne sur des phrases et des paroles qui peuvent être employées. Pour finir j’ai aussi apprécié qu’elle nous montre que l’utilisation de certains mots ou certaines phrases peuvent renforcer ou au contraire détruire une relation entre les personnes.