Claudie Gallay nous plonge entièrement dans la vie de Jeanne. Par le rythme de son écriture, elle crée la musique qui illustre le déroulement des jours de cette femme et de sa famille. Très rapidement, nous sommes enveloppés dans la chaleur du quotidien où s’éparpillent quelques incidents sans gravité. La figure de l’artiste serbe s’immisce de plus en plus dans l’imaginaire de Jeanne. Tout l’enjeu est de savoir si cet imaginaire va prendre le pouvoir. Ce suspens psychologique et sentimental fonctionne très bien et on attend de voir quels changements seront opérés.
Pour en savoir plus, lisez ma critique sur mon blog Le tourneur de pages https://tourneurdepages.wordpress.com/2018/03/19/la-beaute-des-jours/