L'actualité sur La Blessure, la vraie

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TOToto1

a attribué 8/10 au livre

La Blessure, la vraie

2011 • livre de François Bégaudeau

Résumé : Depuis vingt ans à vrai dire je n'ai plus cessé de rire. C'en est troublant, presque inquiétant, une anomalie car il y aurait plutôt de quoi pleurer, tragédies, saloperies, maladies, labeur de vivre, effroi de ne plus. Toujoursj'ai donné le change, mais aujourd' hui me trouve las d'esquiver et pressé d'admettre qu'en effet il y a quelque chose qu'il ne faut plus tarder à raconter. Le temps est venu quoi qu'il m'en coûte de remonter à la blessure. De remonter à 86. À l'été 86.

schiz0id

a attribué 7/10 au livre

La Blessure, la vraie

2011 • livre de François Bégaudeau

Résumé : Depuis vingt ans à vrai dire je n'ai plus cessé de rire. C'en est troublant, presque inquiétant, une anomalie car il y aurait plutôt de quoi pleurer, tragédies, saloperies, maladies, labeur de vivre, effroi de ne plus. Toujoursj'ai donné le change, mais aujourd' hui me trouve las d'esquiver et pressé d'admettre qu'en effet il y a quelque chose qu'il ne faut plus tarder à raconter. Le temps est venu quoi qu'il m'en coûte de remonter à la blessure. De remonter à 86. À l'été 86.

Laiospeps

a attribué 7/10 au livre

La Blessure, la vraie

2011 • livre de François Bégaudeau

Résumé : Depuis vingt ans à vrai dire je n'ai plus cessé de rire. C'en est troublant, presque inquiétant, une anomalie car il y aurait plutôt de quoi pleurer, tragédies, saloperies, maladies, labeur de vivre, effroi de ne plus. Toujoursj'ai donné le change, mais aujourd' hui me trouve las d'esquiver et pressé d'admettre qu'en effet il y a quelque chose qu'il ne faut plus tarder à raconter. Le temps est venu quoi qu'il m'en coûte de remonter à la blessure. De remonter à 86. À l'été 86.

mahautgaucherand

a attribué 7/10 au livre

La Blessure, la vraie

2011 • livre de François Bégaudeau

Résumé : Depuis vingt ans à vrai dire je n'ai plus cessé de rire. C'en est troublant, presque inquiétant, une anomalie car il y aurait plutôt de quoi pleurer, tragédies, saloperies, maladies, labeur de vivre, effroi de ne plus. Toujoursj'ai donné le change, mais aujourd' hui me trouve las d'esquiver et pressé d'admettre qu'en effet il y a quelque chose qu'il ne faut plus tarder à raconter. Le temps est venu quoi qu'il m'en coûte de remonter à la blessure. De remonter à 86. À l'été 86.

Exion

a attribué 6/10 au livre

Capuano

a attribué 7/10 au livre

La Blessure, la vraie

2011 • livre de François Bégaudeau

Résumé : Depuis vingt ans à vrai dire je n'ai plus cessé de rire. C'en est troublant, presque inquiétant, une anomalie car il y aurait plutôt de quoi pleurer, tragédies, saloperies, maladies, labeur de vivre, effroi de ne plus. Toujoursj'ai donné le change, mais aujourd' hui me trouve las d'esquiver et pressé d'admettre qu'en effet il y a quelque chose qu'il ne faut plus tarder à raconter. Le temps est venu quoi qu'il m'en coûte de remonter à la blessure. De remonter à 86. À l'été 86.

JusteJ2

a attribué 7/10 au livre

La Blessure, la vraie

2011 • livre de François Bégaudeau

Résumé : Depuis vingt ans à vrai dire je n'ai plus cessé de rire. C'en est troublant, presque inquiétant, une anomalie car il y aurait plutôt de quoi pleurer, tragédies, saloperies, maladies, labeur de vivre, effroi de ne plus. Toujoursj'ai donné le change, mais aujourd' hui me trouve las d'esquiver et pressé d'admettre qu'en effet il y a quelque chose qu'il ne faut plus tarder à raconter. Le temps est venu quoi qu'il m'en coûte de remonter à la blessure. De remonter à 86. À l'été 86.

Ymann

a attribué 9/10 au livre

La Blessure, la vraie

2011 • livre de François Bégaudeau

Résumé : Depuis vingt ans à vrai dire je n'ai plus cessé de rire. C'en est troublant, presque inquiétant, une anomalie car il y aurait plutôt de quoi pleurer, tragédies, saloperies, maladies, labeur de vivre, effroi de ne plus. Toujoursj'ai donné le change, mais aujourd' hui me trouve las d'esquiver et pressé d'admettre qu'en effet il y a quelque chose qu'il ne faut plus tarder à raconter. Le temps est venu quoi qu'il m'en coûte de remonter à la blessure. De remonter à 86. À l'été 86.

krupkaaaa

a attribué 8/10 au livre

La Blessure, la vraie

2011 • livre de François Bégaudeau

Résumé : Depuis vingt ans à vrai dire je n'ai plus cessé de rire. C'en est troublant, presque inquiétant, une anomalie car il y aurait plutôt de quoi pleurer, tragédies, saloperies, maladies, labeur de vivre, effroi de ne plus. Toujoursj'ai donné le change, mais aujourd' hui me trouve las d'esquiver et pressé d'admettre qu'en effet il y a quelque chose qu'il ne faut plus tarder à raconter. Le temps est venu quoi qu'il m'en coûte de remonter à la blessure. De remonter à 86. À l'été 86.

CopernicLeVoyeur

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La Blessure, la vraie

2011 • livre de François Bégaudeau

Résumé : Depuis vingt ans à vrai dire je n'ai plus cessé de rire. C'en est troublant, presque inquiétant, une anomalie car il y aurait plutôt de quoi pleurer, tragédies, saloperies, maladies, labeur de vivre, effroi de ne plus. Toujoursj'ai donné le change, mais aujourd' hui me trouve las d'esquiver et pressé d'admettre qu'en effet il y a quelque chose qu'il ne faut plus tarder à raconter. Le temps est venu quoi qu'il m'en coûte de remonter à la blessure. De remonter à 86. À l'été 86.

Théo Lecourt

a attribué 7/10 au livre

La Blessure, la vraie

2011 • livre de François Bégaudeau

Résumé : Depuis vingt ans à vrai dire je n'ai plus cessé de rire. C'en est troublant, presque inquiétant, une anomalie car il y aurait plutôt de quoi pleurer, tragédies, saloperies, maladies, labeur de vivre, effroi de ne plus. Toujoursj'ai donné le change, mais aujourd' hui me trouve las d'esquiver et pressé d'admettre qu'en effet il y a quelque chose qu'il ne faut plus tarder à raconter. Le temps est venu quoi qu'il m'en coûte de remonter à la blessure. De remonter à 86. À l'été 86.

Théo Lecourt

a écrit un statut à propos du livre

“à la poursuite ajournée de la fille ”

Exion

a attribué 7/10 au livre

La Blessure, la vraie

2011 • livre de François Bégaudeau

Résumé : Depuis vingt ans à vrai dire je n'ai plus cessé de rire. C'en est troublant, presque inquiétant, une anomalie car il y aurait plutôt de quoi pleurer, tragédies, saloperies, maladies, labeur de vivre, effroi de ne plus. Toujoursj'ai donné le change, mais aujourd' hui me trouve las d'esquiver et pressé d'admettre qu'en effet il y a quelque chose qu'il ne faut plus tarder à raconter. Le temps est venu quoi qu'il m'en coûte de remonter à la blessure. De remonter à 86. À l'été 86.