Fiche technique

Auteur :

Pierre Serisier
Genre : RomanDate de publication (pays d'origine) : Parution France : septembre 2008

Éditeur :

M6 Eds
ISBN : 9782915127522

Résumé : Je m'appelle Alexander Mahone. Il y a encore trois semaines, j'étais l'un des meilleurs agents spéciaux du FBI, chargé de pourchasser les criminels les plus dangereux à travers les États-Unis. Je ne ressentais pas la moindre pitié pour eux. Juste cette haine tenace enfouie au plus profond de moi.Sur ordre de la Maison Blanche, j'ai été dépêché au pénitencier d'État de l'Illinois pour mener la plus grande chasse à l'homme qu'ait connue le pays. Ma mission : retrouver les «Huit de Fox River». J'allais traquer Michael Scofield et ses complices d'évasion jusqu'à ce que mort s'ensuive, puisque cela était nécessaire.Autant vous prévenir tout de suite : je n'ai pas gagné cette partie. Je suis aujourd'hui un mort-vivant dans la cour boueuse d'un pénitencier du Panama. Mais je ne l'ai pas perdue non plus. Dans la chute vertigineuse qui m'a mené jusqu'à cet enfer, j'ai entraîné plusieurs de mes proies. Certaines sont mortes. Les autres croupissent à mes côtés.Et c'est au fond de cet abîme, entouré par les cris de détenus qui hurlent comme des bêtes sauvages, que je l'admets enfin. Je n'étais pas seulement un chasseur dans cette affaire. J'étais le bras armé d'une effroyable machination. REVIVEZ LA TRAQUE IMPITOYABLE DANS LA TÊTE D'ALEXANDER MAHONEExtrait du livre :Je m'appelle Alexander Mahone. Il y a trois semaines, je travaillais comme agent spécial du FBI. Costumes sombres, cravates discrètes et chemises claires, impeccables, repassées par un teinturier. L'uniforme, version tailleur à 5 000 dollars le coup de ciseau.Je possédais également un automatique 9 mm et le droit de m'en servir chaque fois que je le jugeais nécessaire. Mon badge lançait des reflets dorés et imposait le respect. Et c'est ce que je faisais : utiliser mon flingue, enfoncer des portes fermées à double tour, et faire régner la terreur autour de moi. J'étais doué pour ça, vous pouvez me croire sur parole. C'était pour ça qu'on me payait. C'était ma vie. Un soldat idéal, officiel, respectable, sans états