L'actualité sur La Connaissance de l'écrivain

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Smashcut Stolz
La Connaissance de l'écrivain

2008 • livre de Jacques Bouveresse

Résumé : Les postmodernes ont érigé la littérature en une sorte de genre suprême, dont la philosophie et la science ne seraient que des espèces. Chacune des trois disciplines aurait aussi peu de rapport avec la vérité que les autres ; chacune se préoccuperait uniquement d'inventer de bonnes histoires, que nous honorons parfois du titre de « vérités » uniquement pour signifier qu'elles nous aident à résoudre les problèmes que nous avons avec le monde et avec les autres hommes. Une des conséquences les plus remarquables de cette conception a été de détourner l'attention de la question cruciale : pourquoi avons-nous besoin de la littérature, en plus de la science et de la philosophie, pour nous aider à résoudre certains de nos problèmes ? Et qu'est-ce qui fait exactement la spécificité de la littérature, considérée comme une voie d'accès, qui ne pourrait être remplacée par aucune autre, à la connaissance et à la vérité ? Quelle sorte de savoir trouve-t-on dans un roman, que ni la vie quotidienne ni une étude scientifique ne nous communiquent ? En quel sens peut-on parler de vérité en littérature ? Quels rapports y a-t-il entre la forme d'une œuvre et la connaissance qu'elle nous procure ?

ElstirGlass

a attribué 10/10 au livre

La Connaissance de l'écrivain

2008 • livre de Jacques Bouveresse

Résumé : Les postmodernes ont érigé la littérature en une sorte de genre suprême, dont la philosophie et la science ne seraient que des espèces. Chacune des trois disciplines aurait aussi peu de rapport avec la vérité que les autres ; chacune se préoccuperait uniquement d'inventer de bonnes histoires, que nous honorons parfois du titre de « vérités » uniquement pour signifier qu'elles nous aident à résoudre les problèmes que nous avons avec le monde et avec les autres hommes. Une des conséquences les plus remarquables de cette conception a été de détourner l'attention de la question cruciale : pourquoi avons-nous besoin de la littérature, en plus de la science et de la philosophie, pour nous aider à résoudre certains de nos problèmes ? Et qu'est-ce qui fait exactement la spécificité de la littérature, considérée comme une voie d'accès, qui ne pourrait être remplacée par aucune autre, à la connaissance et à la vérité ? Quelle sorte de savoir trouve-t-on dans un roman, que ni la vie quotidienne ni une étude scientifique ne nous communiquent ? En quel sens peut-on parler de vérité en littérature ? Quels rapports y a-t-il entre la forme d'une œuvre et la connaissance qu'elle nous procure ?

Julito87

a attribué 7/10 au livre

La Connaissance de l'écrivain

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Résumé : Les postmodernes ont érigé la littérature en une sorte de genre suprême, dont la philosophie et la science ne seraient que des espèces. Chacune des trois disciplines aurait aussi peu de rapport avec la vérité que les autres ; chacune se préoccuperait uniquement d'inventer de bonnes histoires, que nous honorons parfois du titre de « vérités » uniquement pour signifier qu'elles nous aident à résoudre les problèmes que nous avons avec le monde et avec les autres hommes. Une des conséquences les plus remarquables de cette conception a été de détourner l'attention de la question cruciale : pourquoi avons-nous besoin de la littérature, en plus de la science et de la philosophie, pour nous aider à résoudre certains de nos problèmes ? Et qu'est-ce qui fait exactement la spécificité de la littérature, considérée comme une voie d'accès, qui ne pourrait être remplacée par aucune autre, à la connaissance et à la vérité ? Quelle sorte de savoir trouve-t-on dans un roman, que ni la vie quotidienne ni une étude scientifique ne nous communiquent ? En quel sens peut-on parler de vérité en littérature ? Quels rapports y a-t-il entre la forme d'une œuvre et la connaissance qu'elle nous procure ?

Bergotte

a attribué 10/10 au livre

La Connaissance de l'écrivain

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Résumé : Les postmodernes ont érigé la littérature en une sorte de genre suprême, dont la philosophie et la science ne seraient que des espèces. Chacune des trois disciplines aurait aussi peu de rapport avec la vérité que les autres ; chacune se préoccuperait uniquement d'inventer de bonnes histoires, que nous honorons parfois du titre de « vérités » uniquement pour signifier qu'elles nous aident à résoudre les problèmes que nous avons avec le monde et avec les autres hommes. Une des conséquences les plus remarquables de cette conception a été de détourner l'attention de la question cruciale : pourquoi avons-nous besoin de la littérature, en plus de la science et de la philosophie, pour nous aider à résoudre certains de nos problèmes ? Et qu'est-ce qui fait exactement la spécificité de la littérature, considérée comme une voie d'accès, qui ne pourrait être remplacée par aucune autre, à la connaissance et à la vérité ? Quelle sorte de savoir trouve-t-on dans un roman, que ni la vie quotidienne ni une étude scientifique ne nous communiquent ? En quel sens peut-on parler de vérité en littérature ? Quels rapports y a-t-il entre la forme d'une œuvre et la connaissance qu'elle nous procure ?

Ostenweg

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La Connaissance de l'écrivain

2008 • livre de Jacques Bouveresse

Résumé : Les postmodernes ont érigé la littérature en une sorte de genre suprême, dont la philosophie et la science ne seraient que des espèces. Chacune des trois disciplines aurait aussi peu de rapport avec la vérité que les autres ; chacune se préoccuperait uniquement d'inventer de bonnes histoires, que nous honorons parfois du titre de « vérités » uniquement pour signifier qu'elles nous aident à résoudre les problèmes que nous avons avec le monde et avec les autres hommes. Une des conséquences les plus remarquables de cette conception a été de détourner l'attention de la question cruciale : pourquoi avons-nous besoin de la littérature, en plus de la science et de la philosophie, pour nous aider à résoudre certains de nos problèmes ? Et qu'est-ce qui fait exactement la spécificité de la littérature, considérée comme une voie d'accès, qui ne pourrait être remplacée par aucune autre, à la connaissance et à la vérité ? Quelle sorte de savoir trouve-t-on dans un roman, que ni la vie quotidienne ni une étude scientifique ne nous communiquent ? En quel sens peut-on parler de vérité en littérature ? Quels rapports y a-t-il entre la forme d'une œuvre et la connaissance qu'elle nous procure ?

Rotulax

a attribué 7/10 au livre

La Connaissance de l'écrivain

2008 • livre de Jacques Bouveresse

Résumé : Les postmodernes ont érigé la littérature en une sorte de genre suprême, dont la philosophie et la science ne seraient que des espèces. Chacune des trois disciplines aurait aussi peu de rapport avec la vérité que les autres ; chacune se préoccuperait uniquement d'inventer de bonnes histoires, que nous honorons parfois du titre de « vérités » uniquement pour signifier qu'elles nous aident à résoudre les problèmes que nous avons avec le monde et avec les autres hommes. Une des conséquences les plus remarquables de cette conception a été de détourner l'attention de la question cruciale : pourquoi avons-nous besoin de la littérature, en plus de la science et de la philosophie, pour nous aider à résoudre certains de nos problèmes ? Et qu'est-ce qui fait exactement la spécificité de la littérature, considérée comme une voie d'accès, qui ne pourrait être remplacée par aucune autre, à la connaissance et à la vérité ? Quelle sorte de savoir trouve-t-on dans un roman, que ni la vie quotidienne ni une étude scientifique ne nous communiquent ? En quel sens peut-on parler de vérité en littérature ? Quels rapports y a-t-il entre la forme d'une œuvre et la connaissance qu'elle nous procure ?

Samuel

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La Connaissance de l'écrivain

2008 • livre de Jacques Bouveresse

Résumé : Les postmodernes ont érigé la littérature en une sorte de genre suprême, dont la philosophie et la science ne seraient que des espèces. Chacune des trois disciplines aurait aussi peu de rapport avec la vérité que les autres ; chacune se préoccuperait uniquement d'inventer de bonnes histoires, que nous honorons parfois du titre de « vérités » uniquement pour signifier qu'elles nous aident à résoudre les problèmes que nous avons avec le monde et avec les autres hommes. Une des conséquences les plus remarquables de cette conception a été de détourner l'attention de la question cruciale : pourquoi avons-nous besoin de la littérature, en plus de la science et de la philosophie, pour nous aider à résoudre certains de nos problèmes ? Et qu'est-ce qui fait exactement la spécificité de la littérature, considérée comme une voie d'accès, qui ne pourrait être remplacée par aucune autre, à la connaissance et à la vérité ? Quelle sorte de savoir trouve-t-on dans un roman, que ni la vie quotidienne ni une étude scientifique ne nous communiquent ? En quel sens peut-on parler de vérité en littérature ? Quels rapports y a-t-il entre la forme d'une œuvre et la connaissance qu'elle nous procure ?