Les 300 premières pages (sur 600) sont pénibles à lire. Les noms des personnages sont rarement cités, pour savoir de qui l’auteur parle il faut se référer au contexte et ça complique beaucoup la lecture. Il y a énormément de points de suspension qui hachent la lecture, parfois il est difficile de comprendre là où voulait en venir l’auteur avec ces points de suspension. Beaucoup de listes d’actions sans fin... beaucoup de phrases sans pronoms. Un personnage dépressif.
Puis après 300 pages laborieuses une histoire qui décolle enfin, s’égaye et un style à la « Anna Gavalda » retrouvé. Ouf! Je suis heureuse de m’être accrochée pour le lire. La suite est poétique, joyeuse, colorée, riche en personnages et en émotions. On fini le livre en laissant derrière soit des personnages attachants qu’on regrette de quitter.