L'actualité sur La Disparition
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1969 âą livre de Georges Perec
RĂ©sumĂ© : Trahir qui disparut, dans La Disparition, ravirait au lisant subtil tout plaisir. Motus donc, sur l'inconnu noyau manquant - "un rond pas tout Ă fait clos finissant par un trait horizontal" -, blanc sillon damnatif oĂč s'abĂźma un Anton Voyl, mais d'oĂč surgit aussi la fiction. Disons, sans plus, qu'il a rapport Ă la vocalisation. L'aiguillon paraĂźtra Ă d'aucuns trop grammatical. Vain soupçon : contraint par son savant pari Ă moult combinaisons, allusions, substitutions ou circonclusions, jamais G.P. n'arracha au banal discours joyaux plus brillants ni si purs. Jamais plus fol alibi n'accoucha d'avatars si mirobolants. oui, il fallait un grand art, un art hors du commun, pour fourbir tout un roman sans ça !
1969 âą livre de Georges Perec
RĂ©sumĂ© : Trahir qui disparut, dans La Disparition, ravirait au lisant subtil tout plaisir. Motus donc, sur l'inconnu noyau manquant - "un rond pas tout Ă fait clos finissant par un trait horizontal" -, blanc sillon damnatif oĂč s'abĂźma un Anton Voyl, mais d'oĂč surgit aussi la fiction. Disons, sans plus, qu'il a rapport Ă la vocalisation. L'aiguillon paraĂźtra Ă d'aucuns trop grammatical. Vain soupçon : contraint par son savant pari Ă moult combinaisons, allusions, substitutions ou circonclusions, jamais G.P. n'arracha au banal discours joyaux plus brillants ni si purs. Jamais plus fol alibi n'accoucha d'avatars si mirobolants. oui, il fallait un grand art, un art hors du commun, pour fourbir tout un roman sans ça !
1969 âą livre de Georges Perec
RĂ©sumĂ© : Trahir qui disparut, dans La Disparition, ravirait au lisant subtil tout plaisir. Motus donc, sur l'inconnu noyau manquant - "un rond pas tout Ă fait clos finissant par un trait horizontal" -, blanc sillon damnatif oĂč s'abĂźma un Anton Voyl, mais d'oĂč surgit aussi la fiction. Disons, sans plus, qu'il a rapport Ă la vocalisation. L'aiguillon paraĂźtra Ă d'aucuns trop grammatical. Vain soupçon : contraint par son savant pari Ă moult combinaisons, allusions, substitutions ou circonclusions, jamais G.P. n'arracha au banal discours joyaux plus brillants ni si purs. Jamais plus fol alibi n'accoucha d'avatars si mirobolants. oui, il fallait un grand art, un art hors du commun, pour fourbir tout un roman sans ça !
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