Lorsque le ressort de l'intrigue vous apparait à la lecture des premières pages et que cette piste n'est suivie qu'à la 500éme, la certitude que l'auteur n'a pas correctement construit l'intrigue ou qu'il prend les flics pour des abrutis, apparaît.
Pas de surprise, tout est "téléphoné", du fil rouge aux histoires des personnages qui mériteraient moins d'évocation vu la simple retranscription de leurs fiches perso qui détaille ce que l'on savait déjà.
Des longueurs, à tel point que l'on peut tourner les pages par lassitude ou ennui, sans rien rater de fondamental.
Bref j'ai évidemment adoré le second roman de Dicker, je m'attendais donc à mieux de la Disparition de Stéphanie Mailer.