Comme avec la majorité des recueils, il y a du bon… et du moins. Là, toutefois, il y a aussi de l’excellent et du dispensable.
Car Beigbeder me fascine autant qu’il m’épuise. Il est aussi brillant que trop facile.
Et si on lui passe les chroniques « actu » et attentats qui ne lui rendent pas vraiment grâce tant il a plus de talent pour parler sérieusement de frivolité que l’inverse, et si on accepte le name-dropping qui empostillonne ses textes… c’est de la bonne came où l’autodérision côtoie une certaine profondeur avec humour
https://www.noid.ch/la-frivolite-est-une-affaire-serieuse/