L'actualité sur La Légende de Victor Hugo

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MaximeMace

a attribué 7/10 au livre

La Légende de Victor Hugo

1885 • livre de Paul Lafargue

Résumé : « Les proscrits coudoient toutes les misères, disait le grand Florentin ; mais Hugo avait plus d’intelligence que Dante. Avec un art que n’égala jamais Barnum, il fit de l’exil la plus retentissante des réclames. L’exil était l’enseigne criarde et aveuglante accrochée à sa boutique de librairie de Hauteville House. Les rois ne l’avaient pensionné que d’une somme de 3 000 francs ; sa clientèle bourgeoise lui valait 50 000 francs par an. Il n’avait pas perdu au change. Il trouva que l’Empire avait du bon : “Napoléon a fait ma fortune”, avouait-il dans un de ces rares moments où il déposait sa couronne d’épines. » Publié à l’occasion de la panthéonisation de Victor Hugo en 1885, ce texte iconoclaste de Paul Lafargue (1842-1911, auteur du Droit à la paresse) s’attaque frontalement au père des Misérables, considéré comme un homme de lettres talentueux, mais davantage préoccupé par ses propres profits que par la condition humaine. Un pamphlet implacable.

Kévin Des

a attribué 7/10 au livre

La Légende de Victor Hugo

1885 • livre de Paul Lafargue

Résumé : « Les proscrits coudoient toutes les misères, disait le grand Florentin ; mais Hugo avait plus d’intelligence que Dante. Avec un art que n’égala jamais Barnum, il fit de l’exil la plus retentissante des réclames. L’exil était l’enseigne criarde et aveuglante accrochée à sa boutique de librairie de Hauteville House. Les rois ne l’avaient pensionné que d’une somme de 3 000 francs ; sa clientèle bourgeoise lui valait 50 000 francs par an. Il n’avait pas perdu au change. Il trouva que l’Empire avait du bon : “Napoléon a fait ma fortune”, avouait-il dans un de ces rares moments où il déposait sa couronne d’épines. » Publié à l’occasion de la panthéonisation de Victor Hugo en 1885, ce texte iconoclaste de Paul Lafargue (1842-1911, auteur du Droit à la paresse) s’attaque frontalement au père des Misérables, considéré comme un homme de lettres talentueux, mais davantage préoccupé par ses propres profits que par la condition humaine. Un pamphlet implacable.

Corpsetbiens
La Légende de Victor Hugo

1885 • livre de Paul Lafargue

Résumé : « Les proscrits coudoient toutes les misères, disait le grand Florentin ; mais Hugo avait plus d’intelligence que Dante. Avec un art que n’égala jamais Barnum, il fit de l’exil la plus retentissante des réclames. L’exil était l’enseigne criarde et aveuglante accrochée à sa boutique de librairie de Hauteville House. Les rois ne l’avaient pensionné que d’une somme de 3 000 francs ; sa clientèle bourgeoise lui valait 50 000 francs par an. Il n’avait pas perdu au change. Il trouva que l’Empire avait du bon : “Napoléon a fait ma fortune”, avouait-il dans un de ces rares moments où il déposait sa couronne d’épines. » Publié à l’occasion de la panthéonisation de Victor Hugo en 1885, ce texte iconoclaste de Paul Lafargue (1842-1911, auteur du Droit à la paresse) s’attaque frontalement au père des Misérables, considéré comme un homme de lettres talentueux, mais davantage préoccupé par ses propres profits que par la condition humaine. Un pamphlet implacable.

Mjolnir37

a attribué 8/10 au livre

La Légende de Victor Hugo

1885 • livre de Paul Lafargue

Résumé : « Les proscrits coudoient toutes les misères, disait le grand Florentin ; mais Hugo avait plus d’intelligence que Dante. Avec un art que n’égala jamais Barnum, il fit de l’exil la plus retentissante des réclames. L’exil était l’enseigne criarde et aveuglante accrochée à sa boutique de librairie de Hauteville House. Les rois ne l’avaient pensionné que d’une somme de 3 000 francs ; sa clientèle bourgeoise lui valait 50 000 francs par an. Il n’avait pas perdu au change. Il trouva que l’Empire avait du bon : “Napoléon a fait ma fortune”, avouait-il dans un de ces rares moments où il déposait sa couronne d’épines. » Publié à l’occasion de la panthéonisation de Victor Hugo en 1885, ce texte iconoclaste de Paul Lafargue (1842-1911, auteur du Droit à la paresse) s’attaque frontalement au père des Misérables, considéré comme un homme de lettres talentueux, mais davantage préoccupé par ses propres profits que par la condition humaine. Un pamphlet implacable.