L'actualité sur La Lucarne de l'infini
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2007 • livre de Noël Burch
Résumé : Ce livre se veut avant tout une critique des discours théoriques et historiques qui tendent à considérer comme "naturel" le système de représentation qui prévaut au cinéma depuis la fin des années vingt. Dans ce but, l'auteur s'est tourné vers le cinéma des premiers temps, le cinéma "primitif". Car il s'agit de montrer que le "langage" du cinéma n'a rien de naturel, qu'il n'a pas émergé "spontanément", qu'il est le produit d'une histoire. Pour cela, il fallait remonter à une époque où ce "langage" n'existait pas encore vraiment, où n'existait pas encore cette "Institution du cinéma" à l'intérieur de laquelle nous vivons tous, spectateurs et cinéastes des pays du entre depuis les années 20, et qui "fonctionne pour remplir les salles, non pour les vider" (Christian Metz)
2007 • livre de Noël Burch
Résumé : Ce livre se veut avant tout une critique des discours théoriques et historiques qui tendent à considérer comme "naturel" le système de représentation qui prévaut au cinéma depuis la fin des années vingt. Dans ce but, l'auteur s'est tourné vers le cinéma des premiers temps, le cinéma "primitif". Car il s'agit de montrer que le "langage" du cinéma n'a rien de naturel, qu'il n'a pas émergé "spontanément", qu'il est le produit d'une histoire. Pour cela, il fallait remonter à une époque où ce "langage" n'existait pas encore vraiment, où n'existait pas encore cette "Institution du cinéma" à l'intérieur de laquelle nous vivons tous, spectateurs et cinéastes des pays du entre depuis les années 20, et qui "fonctionne pour remplir les salles, non pour les vider" (Christian Metz)
2007 • livre de Noël Burch
Résumé : Ce livre se veut avant tout une critique des discours théoriques et historiques qui tendent à considérer comme "naturel" le système de représentation qui prévaut au cinéma depuis la fin des années vingt. Dans ce but, l'auteur s'est tourné vers le cinéma des premiers temps, le cinéma "primitif". Car il s'agit de montrer que le "langage" du cinéma n'a rien de naturel, qu'il n'a pas émergé "spontanément", qu'il est le produit d'une histoire. Pour cela, il fallait remonter à une époque où ce "langage" n'existait pas encore vraiment, où n'existait pas encore cette "Institution du cinéma" à l'intérieur de laquelle nous vivons tous, spectateurs et cinéastes des pays du entre depuis les années 20, et qui "fonctionne pour remplir les salles, non pour les vider" (Christian Metz)
2007 • livre de Noël Burch
Résumé : Ce livre se veut avant tout une critique des discours théoriques et historiques qui tendent à considérer comme "naturel" le système de représentation qui prévaut au cinéma depuis la fin des années vingt. Dans ce but, l'auteur s'est tourné vers le cinéma des premiers temps, le cinéma "primitif". Car il s'agit de montrer que le "langage" du cinéma n'a rien de naturel, qu'il n'a pas émergé "spontanément", qu'il est le produit d'une histoire. Pour cela, il fallait remonter à une époque où ce "langage" n'existait pas encore vraiment, où n'existait pas encore cette "Institution du cinéma" à l'intérieur de laquelle nous vivons tous, spectateurs et cinéastes des pays du entre depuis les années 20, et qui "fonctionne pour remplir les salles, non pour les vider" (Christian Metz)
2007 • livre de Noël Burch
Résumé : Ce livre se veut avant tout une critique des discours théoriques et historiques qui tendent à considérer comme "naturel" le système de représentation qui prévaut au cinéma depuis la fin des années vingt. Dans ce but, l'auteur s'est tourné vers le cinéma des premiers temps, le cinéma "primitif". Car il s'agit de montrer que le "langage" du cinéma n'a rien de naturel, qu'il n'a pas émergé "spontanément", qu'il est le produit d'une histoire. Pour cela, il fallait remonter à une époque où ce "langage" n'existait pas encore vraiment, où n'existait pas encore cette "Institution du cinéma" à l'intérieur de laquelle nous vivons tous, spectateurs et cinéastes des pays du entre depuis les années 20, et qui "fonctionne pour remplir les salles, non pour les vider" (Christian Metz)