La tension monte encore d’un cran jusqu’à un événement auquel je ne m’attendais pas du tout et une redistribution des cartes au sein du clan. Comme pour une partie d’échec, des pièces majeures disparaissent et (fin de l’analogie) de nouvelles entrent en jeu.
Dans ces luttes où les femmes se battent pour le pouvoir, la rivière continue de démontrer le sien ainsi ses liens forts avec Elinor.
Toujours aussi gluant et putride, une vraie réussite qui entretient avec un grand talent la soif de connaître la suite
https://www.noid.ch/blackwater-la-maison/