La Maison des Atréides par Kliban
Beurk aaargh rhaaaaaa caaaaacaaaaaaaaa !
Tout ce que je déteste. Une écriture plate, des personnages dont on se prend à penser que l'auteur à dû prendre son voisin de palier pour trouver l'imagination nécessaire pour les construire, pas d'intrigue réelle. Bref, hormis noms et situations, on est à peu près n'importe où sauf dans l'univers de Franck Herbert. On peinerait à trouver la subtilité politique et la rigueur émotionnelle des Paul, Leto, Jessica qu'il nous avait livrés. C'est gnagnan, ras les pâquerettes des motivations politiques, à chier une horloge normande. Tombé des mains.
Sévérité à hauteur de la qualité de l'œuvre mère. Ca ne mérite en soit sans doute pas cette note là. Mais le réchauffé herbertien ne peut pas viser en dessous du volcan. Ou de la supernova. Pas du feu de paille.