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Bel univers manichéen
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le 11 août 2019
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Autant le tome 1 se laisse lire bien que ça fasse "Fantasy pour Midinette", autant le manichéisme primaire devient insupportable dans ce second tome...
Arrivé à la bataille entre les 13.000 chevaliers lourds d'un seigneur spoilé arbitrairement de la moitié de ses terres, dont je comprends tout a fait les motivations et 3.000 "sauvages" à moitié nus armés d'épées et d'arc, on atteint l'overdose. (j'ai posé le bouquin 3 jours avant de reprendre la lecture)..
Dans la série: les gentils gagnent car ils sont gentils et les méchants perdent pour l'unique raison qu'ils sont méchants, on apprends donc qu'une ligne de types en pantalon, torse nu, avec une épée a la main, peut stopper net, sans épieu, fossé ou lance, "des rangées et des rangées" de chevaliers en armure qui chargent... et tous les massacrer sans que ceux ci puissent se défendre.
Totalement réaliste...
Bref, ça doit être amusant à lire quand on a 10 12 ans, et les rapports entre le vieux mage et l'héroine sont bien mieux gérés que dans la Malerune (autre monument de bizzarerie), mais quand on est adulte, ça énérve, ça écoeure, ça donne envie de poser le livre et d'imaginer soi même la fin.
Arrivé à la bataille entre les 13.000 chevaliers lourds d'un seigneur spoilé arbitrairement de la moitié de ses terres, dont je comprends tout a fait les motivations et 3.000 "sauvages" à moitié nus armés d'épées et d'arc, on atteint l'overdose. (j'ai posé le bouquin 3 jours avant de reprendre la lecture)..
Dans la série: les gentils gagnent car ils sont gentils et les méchants perdent pour l'unique raison qu'ils sont méchants, on apprends donc qu'une ligne de types en pantalon, torse nu, avec une épée a la main, peut stopper net, sans épieu, fossé ou lance, "des rangées et des rangées" de chevaliers en armure qui chargent... et tous les massacrer sans que ceux ci puissent se défendre.
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Bref, ça doit être amusant à lire quand on a 10 12 ans, et les rapports entre le vieux mage et l'héroine sont bien mieux gérés que dans la Malerune (autre monument de bizzarerie), mais quand on est adulte, ça énérve, ça écoeure, ça donne envie de poser le livre et d'imaginer soi même la fin.
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le 5 avr. 2011
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