La neuvième maison Tome 1 – par Leigh Bardugo – Sébastien Guillot (Traducteur) – Mai 2022 éditions « J’ai Lu »…
Comment vont mes Phoenix de l’Amour ? Bah oui Vendredi c’est Vénus, la déesse de l’amour ! ; -p…
(...)
N’hésitez pas à nous rejoindre on est qu’une quinzaine mais c’est super sympa.
Allons y.
Je prends un passage qui m’a marqué pour l’analyser
« Parfois Alex ne se donnait même pas la peine de manger quoi que ce soit : elle s’endormait simplement devant la fenêtre ou même par terre, à côté des sacs en plastique et des récipients enveloppés de papier d’aluminium. Personne ne passait la voir. Il ne restait plus personne. »
On a tous connus ça non ? Tellement fatigués qu’on en saute un repas… Quant à s’endormir par terre (à moins d’être à la rue) c’est quand même assez facile de viser son lit en tombant ! Lol ! Après le troisième temps est un message sur la solitude… A une ère très bizarre où….
« On raconte nos vies à des étrangers pour se sentir exister »
(Orelsan)
Car…
« Celui qui n'a jamais été seul
Au moins une fois dans sa vie
Peut-il seulement aimer
Peut-il aimer jamais »
(Garou)
« Mors irrumat omnia. La mort nous baise tous. »
Ca alors c’est aussi au cœur de mes pré occupations !! ; ) Quel tempo ! Bon je sais je cite beaucoup de fois Orelsan mais…
« La mort s'en bat les couilles de ta vie
Si t'as pas fait ton sac, elle viendra te chercher quand-même »
Mais tout ça, la solitude, la mort, l’abus de médicaments, etc… C’est ce qui arrive à la fin… Eh oui il y a un Flash Back…
On annonce tout de suite la couleur, on va parler des Bonesman (Skull & Bones) (un genre de société alternative…)
Ces gens sont très organisés… Par exemple, ils ont quelqu’un qui monte la garde la nuit.
On aperçoit les premiers personnages, Alex qui semble être l’héroïne, et Tripp, le fayot.
L’auteur nous avertit, certaines choses sont vraies, d’autres non… Mais cela en fait un sujet difficile à traiter…
Scène horrible du sacrifice qui « est censé survivre »
Méfiez-vous des « opportunités à proposer » ;)…
« Les Bonesmen les aiment aussi tarés que possible, lui avait dit Darlington. Ils pensent que ça donne de meilleures prédictions. » Quand elle lui avait demandé pourquoi, il s’était borné à répondre : « Plus la victima est folle, plus elle est proche de Dieu.
« Rien ne pourra jamais arrêter cela. Il y a trop de gens puissants qui dépendent des petits miracles qu’accomplissent les sociétés. »
« Quelque chose avait tenté de s’immiscer à l’intérieur du cercle de craie. Ça lui avait donné cette impression, en tout cas. Les Gris – des fantômes – étaient inoffensifs. »
Darlington est le seul à appeler Alex « Pammie » apparemment c’est une chouchou…
« Les textos étaient tous espacés d’exactement quinze minutes. Soit Dawes suivait un genre quelconque de protocole, soit elle était encore plus coincée qu’Alex ne l’avait imaginé »
« Je vais vous envoyer son profil. Elle n’est pas… Ce n’est pas le Dante qu’on aurait pu espérer, mais essayez de garder l’esprit ouvert. »
Bon déjà, chers abonnés ce n’est pas un « Taiseux » ; hourra !!
Entre histoire d’argent, amitié, chantage, canapé, sacrifices dans tout les sens du terme, voilà comment on en arrive à la scène d’intro (qui se passe après…).
« Nous, nous recrutons un seul nouveau Dante – un première année – tous les trois ans. »
(C’est toujours bon pour la culture générale… Et pour la compréhension du récit ! ).
… Ah oui et la plupart des romans ont déjà abordés le thème de la sexualité là où j’en suis. Je trouvé que les scènes « sexy » sont toujours un plus dans une histoire… Au moins il y a une rousse ;)…
Pourtant, je n’ai pas beaucoup accroché aux personnages qui sont tous un peu tièdes et à part l’incursion dans la mythologie des Bonesman, l’histoire vaguement policière n’est pas d’un grand intérêt…
« « Bon, Alex, qu’est-ce que vous attendez de Yale ? » De l’argent. Marguerite Belbalm allait trouver pareille réponse désespérément grossière, elle le savait. »
« « Je te qualifierais bien d’ange, mais tu es tellement plus intéressante. » Ce qui arracha à Dawes un petit gloussement »
Un livre trop long pour « ce que c’est » il aurait gagné à être plus court afin d’y apporter un côté plus percutant ;)… Enlever certaines péripéties qui ne sont pas toutes indispensables ou du moins pas toutes indispensablement développées.
Bon… Je crois que j’en ai assez dit ;)… Pour la suite, je vous laisse découvrir par vous-même, si tant est que mon avis vous a donné envie de le lire :)… Pas sûr, hein ! ;-p
A la prochaine Lecture.
Phoenix