C'est l'histoire d'un barbouze du Vatican qui ne sait sur quel pied danser la Macarena.
Lorenzo Quart, sorte de James Bond en soutane, est envoyé à Séville pour enquêter sur une ancienne église vouée à la destruction par l’archevêché local mais soutenue par une poignée de fidèles. Il est question de hackers, mais ne lisez pas le roman pour ça, ce n'est que secondaire dans l'intrigue.
L'auteur glisse un certains nombre de clins d’œil, j'en ai vu un à Vertigo, une autre à l'un de ses romans précédents le tableau du maître flamand, et même un à l'un de ses futurs romans.
On ne cherche pas à nous imposer un point de vue à propos de la foi, ce qui peut toujours être un peu délicat. Un roman peut-être un petit peu moins fort que les précédents, mais néanmoins extrêmement agréable.