C'est l'histoire d'un barbouze du Vatican qui ne sait sur quel pied danser la Macarena.
Lorenzo Quart, sorte de James Bond en soutane, est envoyé à Séville pour enquêter sur une ancienne église vouée à la destruction par l’archevêché local mais soutenue par une poignée de fidèles. Il est question de hackers, mais ne lisez pas le roman pour ça, ce n'est que secondaire dans l'intrigue.
L'auteur glisse un certains nombre de clins d’œil, j'en ai vu un à Vertigo, une autre à l'un de ses romans précédents le tableau du maître flamand, et même un à l'un de ses futurs romans.
On ne cherche pas à nous imposer un point de vue à propos de la foi, ce qui peut toujours être un peu délicat. Un roman peut-être un petit peu moins fort que les précédents, mais néanmoins extrêmement agréable.

ovalus
8
Écrit par

Créée

le 11 janv. 2018

Critique lue 384 fois

1 j'aime

ovalus

Écrit par

Critique lue 384 fois

1

D'autres avis sur La Peau du tambour

La Peau du tambour
ovalus
8

Au service secret de sa Sainteté

C'est l'histoire d'un barbouze du Vatican qui ne sait sur quel pied danser la Macarena. Lorenzo Quart, sorte de James Bond en soutane, est envoyé à Séville pour enquêter sur une ancienne église vouée...

le 11 janv. 2018

1 j'aime

Du même critique

Une nuit à Casablanca
ovalus
9

Round up the usual suspects

J'ai vu, pour autant que je me souvienne, six films des Marx brothers, plusieurs fois chacun, et tous suivent le même scénario : un couple de jeunes tourtereaux très mignons mais très naïfs s'aime...

le 11 janv. 2018

1 j'aime

La Peau du tambour
ovalus
8

Au service secret de sa Sainteté

C'est l'histoire d'un barbouze du Vatican qui ne sait sur quel pied danser la Macarena. Lorenzo Quart, sorte de James Bond en soutane, est envoyé à Séville pour enquêter sur une ancienne église vouée...

le 11 janv. 2018

1 j'aime