La petite fille qui voulait voir le désert

Fiche technique

Auteurs :

Annie Langlois, Madeleine Brunelet
Date de publication (pays d'origine) : Parution France : 2006

Éditeur :

Flammarion
ISBN : 9782081630802, 9782081220126

Résumé : Un conte d'Australie raconté par Annie Langlois et illustré par Madeleine Brunelet.Le Grand Désert s'étend derrière la colline qui se dresse à côté du village de la petite Tinnkiri. Pour dissuader les enfants de s'y aventurer, on raconte que l'ogre Pangkalangou à peau de serpent dévore les imprudents. Ni les interdictions, ni les mises en garde n'arrêtent Tinnkiri, elle part seule à la découverte de cet endroit mystérieux. Les premiers instants d'émerveillement passés, la faim tenaille la petite fille. Elle réalise qu'elle ne sait pas comment se nourrir, elle n'a pas appris à trouver de l'eau pour étancher sa soif, elle ne sait pas faire du feu pour se réchauffer. Perdue et épuisée, elle découvre la peur et finit par s'endormir. Après une longue nuit de recherche, ses parents la retrouvent. Tinnkiri promet d'apprendre des plus grands avant de retourner dans le désert.Annie Langlois est née au Havre en 1968. Elle a vécu 7 ans en Australie. Aujourd'hui, elle vit en France où elle est professeur de Lettres Modernes. Au Père Castor, elle a déjà publié 10 contes d'Australie dans la collection «Castor Poche» et La légende des animaux d'Australie dans «Les Classiques».Madeleine Brunelet a illustré de nombreux livres pour enfants, notamment chez Actes Sud et Fleurus. Au Père Castor, elle a mis en images les trois titres de la collection Mon grand imagier du Père Castor et L'enfant et le dauphin dans la collection «Les Classiques».Extrait du livre :Malgré les avertissements de sa mère, Tinnkiri voulait à tout prix aller derrière la colline.Elle proposa à ses amies Yelpi et Mima de tenter l'aventure avec elle. Les deux fillettes se montrèrent peu enthousiastes à son idée.- Nous sommes encore trop jeunes, dit la sage Yelpi, nous ne saurons pas nous débrouiller seules dans le désert. Et puis il y a Pangkalangou.- C'est vrai,