L'actualité sur La Porte des serpents

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Hervé D'Incognito

a recommandé le livre

et lui a attribué 7/10

La Porte des serpents

1980 • livre de Julia Verlanger (Gilles Thomas)

Résumé : La vague d'étonnement est venue à retardement. J'avais abouti Dieu sait où, mais sûrement pas en France. Ce prédateur rouge qui étalait son ventre marbré m'avait tout l'air de se classer lynx. Dans notre doux pays, l'espèce est éteinte. Et j'avais cru les lynx plutôt petits. Celui-là aurait pourtant fait la pige à une panthère. Sans parler des flèches. Les flèches empennées d'un Sioux sur le sentier de la guerre, pas celles d'un sportif du vingtième siècle. En matière d'étonnement, le meilleur était à venir. Quand je me suis approché pour identifier le tireur, j'ai reçu un sacré choc. Parce que je découvrais, dans toute sa gloire, un magnifique centaure ! Tout à fait authentique ! Le torse humain qui surgissait de la croupe chevaline était lui aussi fourré d'un court pelage café-au-lait. Comme le visage. Un cisage large, bien modelé, avec d'énormes yeux brun clair. La chevelure noire, plus crins que poils, se prolongeait sur l'épine dorsale. Le torse velouté de poils ras dépassait les normes humaines. Je ne suis ni petit, ni malingre mais l'homme-cheval aurait pu me casser en deux d'une seule main.

Cannibal-Cunt

a attribué 7/10 au livre

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Livres lus 2021

La Porte des serpents

1980 • livre de Julia Verlanger (Gilles Thomas)

Résumé : La vague d'étonnement est venue à retardement. J'avais abouti Dieu sait où, mais sûrement pas en France. Ce prédateur rouge qui étalait son ventre marbré m'avait tout l'air de se classer lynx. Dans notre doux pays, l'espèce est éteinte. Et j'avais cru les lynx plutôt petits. Celui-là aurait pourtant fait la pige à une panthère. Sans parler des flèches. Les flèches empennées d'un Sioux sur le sentier de la guerre, pas celles d'un sportif du vingtième siècle. En matière d'étonnement, le meilleur était à venir. Quand je me suis approché pour identifier le tireur, j'ai reçu un sacré choc. Parce que je découvrais, dans toute sa gloire, un magnifique centaure ! Tout à fait authentique ! Le torse humain qui surgissait de la croupe chevaline était lui aussi fourré d'un court pelage café-au-lait. Comme le visage. Un cisage large, bien modelé, avec d'énormes yeux brun clair. La chevelure noire, plus crins que poils, se prolongeait sur l'épine dorsale. Le torse velouté de poils ras dépassait les normes humaines. Je ne suis ni petit, ni malingre mais l'homme-cheval aurait pu me casser en deux d'une seule main.