L'actualité sur La Terreur féministe
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2021 • livre de Irene
Résumé : « Le féminisme n’a jamais tué personne. » Cette phrase est brandie depuis des décennies par le discours féministe majoritaire. Comme si les féministes cherchaient à rassurer un patriarcat pétri d’angoisse, ou à appuyer l’idée – déjà bien répandue – qu’une femme ne peut pas faire peur, qu’une femme ne peut pas être dangereuse. Mais est-il vrai que le féminisme n’a jamais tué personne ? Elles s’appellent Maria, Noura, Judith, Diana, Christabel. Elles ont fait usage de la violence contre le patriarcat. Elles ont touché au grand tabou. Pour nourrir une réflexion sur la place de la violence dans la lutte contre le patriarcat, Irene nous raconte l’histoire de ces femmes violentes. Irene – prononcer “Iréné” –, 21 ans, a grandi dans un mélange de cultures espagnole, basque et française. En 2017, elle s’installe à Paris et se lance dans le militantisme au contact des milieux féministes. En parallèle, elle transforme son compte Instagram en outil de démocratisation d’idées et de pédagogie populaire. Elle participe au lancement du mouvement des collages contre les féminicides en 2019. "
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Résumé : « Le féminisme n’a jamais tué personne. » Cette phrase est brandie depuis des décennies par le discours féministe majoritaire. Comme si les féministes cherchaient à rassurer un patriarcat pétri d’angoisse, ou à appuyer l’idée – déjà bien répandue – qu’une femme ne peut pas faire peur, qu’une femme ne peut pas être dangereuse. Mais est-il vrai que le féminisme n’a jamais tué personne ? Elles s’appellent Maria, Noura, Judith, Diana, Christabel. Elles ont fait usage de la violence contre le patriarcat. Elles ont touché au grand tabou. Pour nourrir une réflexion sur la place de la violence dans la lutte contre le patriarcat, Irene nous raconte l’histoire de ces femmes violentes. Irene – prononcer “Iréné” –, 21 ans, a grandi dans un mélange de cultures espagnole, basque et française. En 2017, elle s’installe à Paris et se lance dans le militantisme au contact des milieux féministes. En parallèle, elle transforme son compte Instagram en outil de démocratisation d’idées et de pédagogie populaire. Elle participe au lancement du mouvement des collages contre les féminicides en 2019. "
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Résumé : « Le féminisme n’a jamais tué personne. » Cette phrase est brandie depuis des décennies par le discours féministe majoritaire. Comme si les féministes cherchaient à rassurer un patriarcat pétri d’angoisse, ou à appuyer l’idée – déjà bien répandue – qu’une femme ne peut pas faire peur, qu’une femme ne peut pas être dangereuse. Mais est-il vrai que le féminisme n’a jamais tué personne ? Elles s’appellent Maria, Noura, Judith, Diana, Christabel. Elles ont fait usage de la violence contre le patriarcat. Elles ont touché au grand tabou. Pour nourrir une réflexion sur la place de la violence dans la lutte contre le patriarcat, Irene nous raconte l’histoire de ces femmes violentes. Irene – prononcer “Iréné” –, 21 ans, a grandi dans un mélange de cultures espagnole, basque et française. En 2017, elle s’installe à Paris et se lance dans le militantisme au contact des milieux féministes. En parallèle, elle transforme son compte Instagram en outil de démocratisation d’idées et de pédagogie populaire. Elle participe au lancement du mouvement des collages contre les féminicides en 2019. "
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a recommandé le livre
, lui a attribué 10/10 et l'a ajouté à sa liste
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Résumé : « Le féminisme n’a jamais tué personne. » Cette phrase est brandie depuis des décennies par le discours féministe majoritaire. Comme si les féministes cherchaient à rassurer un patriarcat pétri d’angoisse, ou à appuyer l’idée – déjà bien répandue – qu’une femme ne peut pas faire peur, qu’une femme ne peut pas être dangereuse. Mais est-il vrai que le féminisme n’a jamais tué personne ? Elles s’appellent Maria, Noura, Judith, Diana, Christabel. Elles ont fait usage de la violence contre le patriarcat. Elles ont touché au grand tabou. Pour nourrir une réflexion sur la place de la violence dans la lutte contre le patriarcat, Irene nous raconte l’histoire de ces femmes violentes. Irene – prononcer “Iréné” –, 21 ans, a grandi dans un mélange de cultures espagnole, basque et française. En 2017, elle s’installe à Paris et se lance dans le militantisme au contact des milieux féministes. En parallèle, elle transforme son compte Instagram en outil de démocratisation d’idées et de pédagogie populaire. Elle participe au lancement du mouvement des collages contre les féminicides en 2019. "
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Résumé : « Le féminisme n’a jamais tué personne. » Cette phrase est brandie depuis des décennies par le discours féministe majoritaire. Comme si les féministes cherchaient à rassurer un patriarcat pétri d’angoisse, ou à appuyer l’idée – déjà bien répandue – qu’une femme ne peut pas faire peur, qu’une femme ne peut pas être dangereuse. Mais est-il vrai que le féminisme n’a jamais tué personne ? Elles s’appellent Maria, Noura, Judith, Diana, Christabel. Elles ont fait usage de la violence contre le patriarcat. Elles ont touché au grand tabou. Pour nourrir une réflexion sur la place de la violence dans la lutte contre le patriarcat, Irene nous raconte l’histoire de ces femmes violentes. Irene – prononcer “Iréné” –, 21 ans, a grandi dans un mélange de cultures espagnole, basque et française. En 2017, elle s’installe à Paris et se lance dans le militantisme au contact des milieux féministes. En parallèle, elle transforme son compte Instagram en outil de démocratisation d’idées et de pédagogie populaire. Elle participe au lancement du mouvement des collages contre les féminicides en 2019. "
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sur le livre
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Résumé : « Le féminisme n’a jamais tué personne. » Cette phrase est brandie depuis des décennies par le discours féministe majoritaire. Comme si les féministes cherchaient à rassurer un patriarcat pétri d’angoisse, ou à appuyer l’idée – déjà bien répandue – qu’une femme ne peut pas faire peur, qu’une femme ne peut pas être dangereuse. Mais est-il vrai que le féminisme n’a jamais tué personne ? Elles s’appellent Maria, Noura, Judith, Diana, Christabel. Elles ont fait usage de la violence contre le patriarcat. Elles ont touché au grand tabou. Pour nourrir une réflexion sur la place de la violence dans la lutte contre le patriarcat, Irene nous raconte l’histoire de ces femmes violentes. Irene – prononcer “Iréné” –, 21 ans, a grandi dans un mélange de cultures espagnole, basque et française. En 2017, elle s’installe à Paris et se lance dans le militantisme au contact des milieux féministes. En parallèle, elle transforme son compte Instagram en outil de démocratisation d’idées et de pédagogie populaire. Elle participe au lancement du mouvement des collages contre les féminicides en 2019. "
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Résumé : « Le féminisme n’a jamais tué personne. » Cette phrase est brandie depuis des décennies par le discours féministe majoritaire. Comme si les féministes cherchaient à rassurer un patriarcat pétri d’angoisse, ou à appuyer l’idée – déjà bien répandue – qu’une femme ne peut pas faire peur, qu’une femme ne peut pas être dangereuse. Mais est-il vrai que le féminisme n’a jamais tué personne ? Elles s’appellent Maria, Noura, Judith, Diana, Christabel. Elles ont fait usage de la violence contre le patriarcat. Elles ont touché au grand tabou. Pour nourrir une réflexion sur la place de la violence dans la lutte contre le patriarcat, Irene nous raconte l’histoire de ces femmes violentes. Irene – prononcer “Iréné” –, 21 ans, a grandi dans un mélange de cultures espagnole, basque et française. En 2017, elle s’installe à Paris et se lance dans le militantisme au contact des milieux féministes. En parallèle, elle transforme son compte Instagram en outil de démocratisation d’idées et de pédagogie populaire. Elle participe au lancement du mouvement des collages contre les féminicides en 2019. "