L'actualité sur La Vénus à la fourrure

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Death_in_August

a attribué 8/10 au livre

La Vénus à la fourrure

Venus im Pelz

livre de Leopold von Sacher-Masoch

Résumé : "Ô quelle volupté d'être battu !" : ainsi s'intitulait une des nouvelles de Sacher-Masoch (1836-1895). On ne peut s'étonner que le psychiatre Krafft-Ebing se soit inspiré de son œuvre pour créer le terme de "masochisme". L'univers romanesque de cet écrivain autrichien est en effet empreint d'une sensualité trouble, d'un constant sentiment de culpabilité, de l'angoisse du péché et du mal. Le héros de La Vénus à la fourrure raconte comment, aux termes d'un contrat conclu avec sa maîtresse, il s'est engagé à être son esclave, contraint de subir toutes les humiliations qu'elle jugerait bon de lui infliger : le bonheur alterne sans fin avec la douleur, comme si l'un ne pouvait venir que de l'autre.

Jos sua

a attribué 8/10 au livre

La Vénus à la fourrure

Venus im Pelz

livre de Leopold von Sacher-Masoch

Résumé : "Ô quelle volupté d'être battu !" : ainsi s'intitulait une des nouvelles de Sacher-Masoch (1836-1895). On ne peut s'étonner que le psychiatre Krafft-Ebing se soit inspiré de son œuvre pour créer le terme de "masochisme". L'univers romanesque de cet écrivain autrichien est en effet empreint d'une sensualité trouble, d'un constant sentiment de culpabilité, de l'angoisse du péché et du mal. Le héros de La Vénus à la fourrure raconte comment, aux termes d'un contrat conclu avec sa maîtresse, il s'est engagé à être son esclave, contraint de subir toutes les humiliations qu'elle jugerait bon de lui infliger : le bonheur alterne sans fin avec la douleur, comme si l'un ne pouvait venir que de l'autre.

Possumette

a attribué 7/10 au livre

La Vénus à la fourrure

Venus im Pelz

livre de Leopold von Sacher-Masoch

Résumé : "Ô quelle volupté d'être battu !" : ainsi s'intitulait une des nouvelles de Sacher-Masoch (1836-1895). On ne peut s'étonner que le psychiatre Krafft-Ebing se soit inspiré de son œuvre pour créer le terme de "masochisme". L'univers romanesque de cet écrivain autrichien est en effet empreint d'une sensualité trouble, d'un constant sentiment de culpabilité, de l'angoisse du péché et du mal. Le héros de La Vénus à la fourrure raconte comment, aux termes d'un contrat conclu avec sa maîtresse, il s'est engagé à être son esclave, contraint de subir toutes les humiliations qu'elle jugerait bon de lui infliger : le bonheur alterne sans fin avec la douleur, comme si l'un ne pouvait venir que de l'autre.

Tomega

a attribué 7/10 au livre

La Vénus à la fourrure

Venus im Pelz

livre de Leopold von Sacher-Masoch

Résumé : "Ô quelle volupté d'être battu !" : ainsi s'intitulait une des nouvelles de Sacher-Masoch (1836-1895). On ne peut s'étonner que le psychiatre Krafft-Ebing se soit inspiré de son œuvre pour créer le terme de "masochisme". L'univers romanesque de cet écrivain autrichien est en effet empreint d'une sensualité trouble, d'un constant sentiment de culpabilité, de l'angoisse du péché et du mal. Le héros de La Vénus à la fourrure raconte comment, aux termes d'un contrat conclu avec sa maîtresse, il s'est engagé à être son esclave, contraint de subir toutes les humiliations qu'elle jugerait bon de lui infliger : le bonheur alterne sans fin avec la douleur, comme si l'un ne pouvait venir que de l'autre.

Jos sua

a attribué 7/10 au livre

La Vénus à la fourrure

Venus im Pelz

livre de Leopold von Sacher-Masoch

Résumé : "Ô quelle volupté d'être battu !" : ainsi s'intitulait une des nouvelles de Sacher-Masoch (1836-1895). On ne peut s'étonner que le psychiatre Krafft-Ebing se soit inspiré de son œuvre pour créer le terme de "masochisme". L'univers romanesque de cet écrivain autrichien est en effet empreint d'une sensualité trouble, d'un constant sentiment de culpabilité, de l'angoisse du péché et du mal. Le héros de La Vénus à la fourrure raconte comment, aux termes d'un contrat conclu avec sa maîtresse, il s'est engagé à être son esclave, contraint de subir toutes les humiliations qu'elle jugerait bon de lui infliger : le bonheur alterne sans fin avec la douleur, comme si l'un ne pouvait venir que de l'autre.