Thèse antithèse et c'est tout pour celui qui ne voulait pas vivre dans le risque, donc vivre car chaque seconde incertaine pour celui qui part du principe qu'il a des choses à découvrir de par sa nature minuscule, c'est à dire de prendre parti.
Ceux qui critiquent Nietzche comme un bourgeois faussement intelligent qui n'a travaillé que le style : la force de l'écriture universalisé ensuite à la puissance vitale, il ne pouvait que la penser lui qui la voulait tant, frustré de sa condition de grand entendeur de la réalité seulement en l'effleurant du doigt.
Je me demande si les gens de ce site, et la critique adressée cachée de Herman Hesse dans le loup des steppes, n'avait pas une abime de vérité.
Au lieu de faire profiter à tout le monde de sa capacité de clairvoyance en analysant..... le monde. Il a décidé que l'on ne pouvait donner que des avis lyriques sur l'œuvre d'art qu'était la réalité.
Alors il a exacerbé la seule puissance volitionnesque détenue entre ses mains de cotorep frusté, frustré est le mot, "exacerbé en un seul point", détruire toutes les idoles une par une en se sentant bien du champ de ruine qu'il restera après sa pensée.
Un autre Nietzsche naitra forcément après lui, mettra de l'ordre dans tout ca et dans ses propres excitations nerveuses.
Quel est le problème ?
Ce ne fut qu'un nouveau courant de pensée comme un autre.
Se jetant dans le fleuve originel de l'universalité lui apportant sa touche de chute de puissance gravitationnelle sans retour, celui là lui apportant enfin un but précis.