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1982 âą livre de SergueĂŻ Dovlatov
RĂ©sumĂ© : D'aprĂšs Soljenitsyne, le camp est un enfer. Moi, je pense que l'enfer, c'est nous-mĂȘmes... Ces souvenirs d'un gardien de camp montrent le caractĂšre inextricablement paradoxal et comique du monde. Le monde des criminels de droit commun, oĂč Dovlatov s'en alla monter la garde, aprĂšs avoir Ă©tĂ© expulsĂ© de l'universitĂ© ; et le monde imaginaire des lettres Ă©crites Ă son Ă©diteur russe exilĂ© Ă New York, dans lesquelles il raconte ses dĂ©boires pour faire publier La Zone, roman qui relate sa jeunesse soviĂ©tique et sa vie en exil. Comme un Ă©cho qui se rĂ©pĂšte entre le monde des hommes libres et l'univers des prisonniers, les histoires vĂ©cues Ă l'intĂ©rieur du camp de dĂ©tention ne diffĂšrent guĂšre de celles du monde extĂ©rieur. C'est pourquoi La Zone n'est pas un rĂ©cit de prison. On y retrouve le regard amusĂ© et triste du grand Ă©crivain russe face Ă l'humanitĂ© avec laquelle il partage une expĂ©rience cruciale. Un monstrueux assassin devient ainsi un bon ami, comme on n'en trouve pas chez les honnĂȘtes gens. Combien la limite est tĂ©nue, combien la diffĂ©rence est subtile entre la prison et la libertĂ©, entre les Russes de l'URSS et les Russes en AmĂ©rique ! Et c'est avec un humour irrĂ©sistible, unique, que Dovlatov se moque de nous et de notre condition.
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1982 âą livre de SergueĂŻ Dovlatov
RĂ©sumĂ© : D'aprĂšs Soljenitsyne, le camp est un enfer. Moi, je pense que l'enfer, c'est nous-mĂȘmes... Ces souvenirs d'un gardien de camp montrent le caractĂšre inextricablement paradoxal et comique du monde. Le monde des criminels de droit commun, oĂč Dovlatov s'en alla monter la garde, aprĂšs avoir Ă©tĂ© expulsĂ© de l'universitĂ© ; et le monde imaginaire des lettres Ă©crites Ă son Ă©diteur russe exilĂ© Ă New York, dans lesquelles il raconte ses dĂ©boires pour faire publier La Zone, roman qui relate sa jeunesse soviĂ©tique et sa vie en exil. Comme un Ă©cho qui se rĂ©pĂšte entre le monde des hommes libres et l'univers des prisonniers, les histoires vĂ©cues Ă l'intĂ©rieur du camp de dĂ©tention ne diffĂšrent guĂšre de celles du monde extĂ©rieur. C'est pourquoi La Zone n'est pas un rĂ©cit de prison. On y retrouve le regard amusĂ© et triste du grand Ă©crivain russe face Ă l'humanitĂ© avec laquelle il partage une expĂ©rience cruciale. Un monstrueux assassin devient ainsi un bon ami, comme on n'en trouve pas chez les honnĂȘtes gens. Combien la limite est tĂ©nue, combien la diffĂ©rence est subtile entre la prison et la libertĂ©, entre les Russes de l'URSS et les Russes en AmĂ©rique ! Et c'est avec un humour irrĂ©sistible, unique, que Dovlatov se moque de nous et de notre condition.
Le 22 juin 2021
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Le 22 juin 2021
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1982 âą livre de SergueĂŻ Dovlatov
RĂ©sumĂ© : D'aprĂšs Soljenitsyne, le camp est un enfer. Moi, je pense que l'enfer, c'est nous-mĂȘmes... Ces souvenirs d'un gardien de camp montrent le caractĂšre inextricablement paradoxal et comique du monde. Le monde des criminels de droit commun, oĂč Dovlatov s'en alla monter la garde, aprĂšs avoir Ă©tĂ© expulsĂ© de l'universitĂ© ; et le monde imaginaire des lettres Ă©crites Ă son Ă©diteur russe exilĂ© Ă New York, dans lesquelles il raconte ses dĂ©boires pour faire publier La Zone, roman qui relate sa jeunesse soviĂ©tique et sa vie en exil. Comme un Ă©cho qui se rĂ©pĂšte entre le monde des hommes libres et l'univers des prisonniers, les histoires vĂ©cues Ă l'intĂ©rieur du camp de dĂ©tention ne diffĂšrent guĂšre de celles du monde extĂ©rieur. C'est pourquoi La Zone n'est pas un rĂ©cit de prison. On y retrouve le regard amusĂ© et triste du grand Ă©crivain russe face Ă l'humanitĂ© avec laquelle il partage une expĂ©rience cruciale. Un monstrueux assassin devient ainsi un bon ami, comme on n'en trouve pas chez les honnĂȘtes gens. Combien la limite est tĂ©nue, combien la diffĂ©rence est subtile entre la prison et la libertĂ©, entre les Russes de l'URSS et les Russes en AmĂ©rique ! Et c'est avec un humour irrĂ©sistible, unique, que Dovlatov se moque de nous et de notre condition.