Complainte de Richard Millet sur la paupérisation et l'uniformisation de la littérature Française (et mondiale) en lien avec la globalisation de la scène littéraire mondiale, l'omniprésence de l'Anglais et la domination absolue du roman.
C'est dans le sens de son propos, mais le tout est finalement assez peu accessible, Richard Millet considérant que le chant du Cygne de la littérature Française a déjà eu lieu et que par conséquent il s'exprime dans le vide, il néglige donc l'idée d'être lu. Cependant, son argumentation est convaincante et édifiante bien qu'éprouvante pour le novice que je suis.
L'Eloge littéraire d'Anders Breivik n'est qu'une petite protubérance à Langue Fantôme, elle est plus accessible au lecteur en mal de vocabulaire ou de notions mais moins convaincante. Ce livre ne saurait en aucun cas s'y résumer comme l'on fait tout les critiques et médias.
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