Salut cousin Hubert des USA,
Vla un recueuil de nouvelles qui t'a permis sans aucun doute de ram'ner quelques filles, hommes ou autre dans ta tire pasque c'était dans l'air du temps, la libération des moeurs, on peut même dire qu't'en étais un précurseur de cette liberation avec un bouquin pareil.
Couplée à une ambiance où c'est qu/tu nous tu nous fais découvrir des personnages qu'en ont pas grand chose à faire des grands sentiments, ca fait un mélange explosif plutôt malsain, Hub'!
on en arrive à retrouver du glauque jusque dans l'fond d'not' tasse de café en claquant ton r'cueuil de timbrés.
Des ptites frappes, des travelos, un Harry black qui mange le reste de tes nouvelles par sa présence et son sourire qu'il avait, j'ai kiffé t'lire (tu l'connais pas c'nouveau mot) ... t'es quand même un vestige, un scribe de son époque annonciateur d'une époque débauchée qui s' vautre dans l'alcool, la drogue et le sexe.
Mais si à l'époque t'étais inventif, transgressif et doué, faut qu'tu saches que les temps y z/ont changé, j'te reproche pas les thèmes abordés mais ton absence de filtres et tes descriptions dégueulasses m'ont plus fait d'mal que d'bien.
C'est ton démon dans tes entrailles qu'est r'monté dans ta tete et dans tes mains pour balancer toutes ses immondices agrégées sous des ongles malsains en direction de petites gens comme moi pour noircir leur quotidien. Le vice c'est qu'c/est ton talent d'écrivain qui nous tient.