L'actualité sur Le bien des absents
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2001 • livre de Elias Sanbar
Résumé : Exilé de sa patrie palestinienne avant même d’y avoir vécu, Elias Sanbar ne cède pas aux illusions de la nostalgie. Il donne plutôt à voir, dans un miroitement d’épisodes aux tonalités changeantes, l’immatérielle présence d’une Palestine ressentie "du dehors". Une maison à Haïfa qu’il faut fuir dans la peur — la même maison qui s’entrouvre, cinquante ans plus tard, désormais devenue "bien des absents"… Les dieux lares de l’expatrié seront tour à tour une armoire, des combattants défunts, des sympathisants et poètes essentiels, ou de très emblématiques Indiens du Far West. Dans ce kaléidoscope de choses vues, d’expériences presque indicibles et d’anecdotes douces-amères, jamais Elias Sanbar n’abandonne le sens de l’humour — ni le pays où naquit son peuple jeté aux quatre vents.
2001 • livre de Elias Sanbar
Résumé : Exilé de sa patrie palestinienne avant même d’y avoir vécu, Elias Sanbar ne cède pas aux illusions de la nostalgie. Il donne plutôt à voir, dans un miroitement d’épisodes aux tonalités changeantes, l’immatérielle présence d’une Palestine ressentie "du dehors". Une maison à Haïfa qu’il faut fuir dans la peur — la même maison qui s’entrouvre, cinquante ans plus tard, désormais devenue "bien des absents"… Les dieux lares de l’expatrié seront tour à tour une armoire, des combattants défunts, des sympathisants et poètes essentiels, ou de très emblématiques Indiens du Far West. Dans ce kaléidoscope de choses vues, d’expériences presque indicibles et d’anecdotes douces-amères, jamais Elias Sanbar n’abandonne le sens de l’humour — ni le pays où naquit son peuple jeté aux quatre vents.
Le 13 sept. 2024
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2001 • livre de Elias Sanbar
Résumé : Exilé de sa patrie palestinienne avant même d’y avoir vécu, Elias Sanbar ne cède pas aux illusions de la nostalgie. Il donne plutôt à voir, dans un miroitement d’épisodes aux tonalités changeantes, l’immatérielle présence d’une Palestine ressentie "du dehors". Une maison à Haïfa qu’il faut fuir dans la peur — la même maison qui s’entrouvre, cinquante ans plus tard, désormais devenue "bien des absents"… Les dieux lares de l’expatrié seront tour à tour une armoire, des combattants défunts, des sympathisants et poètes essentiels, ou de très emblématiques Indiens du Far West. Dans ce kaléidoscope de choses vues, d’expériences presque indicibles et d’anecdotes douces-amères, jamais Elias Sanbar n’abandonne le sens de l’humour — ni le pays où naquit son peuple jeté aux quatre vents.
"La fidélité aux siens n'est-elle pas le thème majeur de ce beau recueil ? Les états d'âme de celui qui vit en exil depuis son enfance ont en commun d'appartenir au registre de l'hommage et du souvenir. Souvenirs d'une maison à Haïfa, le "bien des absents", souvenirs de mille anecdotes rendant hommage à ceux qui sont tombés pour la cause palestinienne, souvenirs de ses rencontres avec les poètes (quelques pages superbes sur Jean Genet), avec l'Amérique et les Indiens qu'il affectionne, par analo...
Le 29 oct. 2023
a attribué 7/10 au livre
, le lit actuellement et l'a ajouté à sa liste
2001 • livre de Elias Sanbar
Résumé : Exilé de sa patrie palestinienne avant même d’y avoir vécu, Elias Sanbar ne cède pas aux illusions de la nostalgie. Il donne plutôt à voir, dans un miroitement d’épisodes aux tonalités changeantes, l’immatérielle présence d’une Palestine ressentie "du dehors". Une maison à Haïfa qu’il faut fuir dans la peur — la même maison qui s’entrouvre, cinquante ans plus tard, désormais devenue "bien des absents"… Les dieux lares de l’expatrié seront tour à tour une armoire, des combattants défunts, des sympathisants et poètes essentiels, ou de très emblématiques Indiens du Far West. Dans ce kaléidoscope de choses vues, d’expériences presque indicibles et d’anecdotes douces-amères, jamais Elias Sanbar n’abandonne le sens de l’humour — ni le pays où naquit son peuple jeté aux quatre vents.
2001 • livre de Elias Sanbar
Résumé : Exilé de sa patrie palestinienne avant même d’y avoir vécu, Elias Sanbar ne cède pas aux illusions de la nostalgie. Il donne plutôt à voir, dans un miroitement d’épisodes aux tonalités changeantes, l’immatérielle présence d’une Palestine ressentie "du dehors". Une maison à Haïfa qu’il faut fuir dans la peur — la même maison qui s’entrouvre, cinquante ans plus tard, désormais devenue "bien des absents"… Les dieux lares de l’expatrié seront tour à tour une armoire, des combattants défunts, des sympathisants et poètes essentiels, ou de très emblématiques Indiens du Far West. Dans ce kaléidoscope de choses vues, d’expériences presque indicibles et d’anecdotes douces-amères, jamais Elias Sanbar n’abandonne le sens de l’humour — ni le pays où naquit son peuple jeté aux quatre vents.