Je suis aussi vaincu

Du charabia philosophique, on dirait que les mots et leur agencement sont choisis au hasard.

Faudrait que quelqu'un réécrive tout ca pour les gens qui ne sont pas dans sa tête : tout ca n'a jamais ni queue ni tête, ca n'a rien avoir avec le Cioran que j'ai connu.

Il s'essaye à donner son avis sur tout, à la limite de l'essai, mais avec un lyrisme qui vient bouilliser tout ca en un truc informe, indescriptible, loin d'une simple aromatisation, forçant tout et n'importe quoi à se relier, feintant si grassement l'harmonie des idées, des éléments qui n'ont rien avoir entre eux, même si n'a aucun sens de le faire.