Tout n'est pas à jeter. Il y'a quelques moments où on se concentre sur l'intrigue pour nous perdre un peu et qui ne sont pas trop mal foutus. A certains moments j'irais même bien visiter cette région dans laquelle je n'ai jamais mis les pieds. Mais on arrive à une conclusion pourrave qui ne tient pas la route. Et en chemin on se prend tous les clichés possibles pour bien vendre son produit. Ni correct pour un livre, ni correct pour un policier.
Malgré tout on a fait un pari avec des ami.e.s pour s'arrêter au milieu du bouquin et se partager nos théories (à l'heure d'écrire ces lignes, la soirée n'a pas encore eu lieu). J'en garderai donc curieusement un bon souvenir mais 340 pages à faire semblant de défendre les petits commerces avec une argumentation bancale, cela fait un peu mal. Tant pis pour le Cantal.