Le chasseur de lapins commence avec force par une scène intense, sanglante et à l’ambiance terriblement inquiétante. Tout de suite on accroche, on a envie de poursuivre sur ce rythme… mais malheureusement, après, le soufflé retombe. L’intrigue s’essouffle, le rythme stagne, l’intensité s’étiole. La lenteur de la première moitié du roman m’a vraiment freiné dans mon enthousiasme. Sincèrement, je m’ennuyais et j’ai hésité à abandonner mais je voulais donner sa chance au duo d’auteurs cachés sous le pseudonyme et j’ai donc poursuivi. Le problème tient à une enquête assez complexe dans sa structure administrative, et à une absence de meurtres assez désespérante. Oui j’aime le sang, j’assume ! Peut-être aussi [...]
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