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Déçu je suis
Eco bordel de merde, Umberto Eco. C'est un de mes romanciers favoris, pourtant sa carrière est très inégale. Si on résume, Le Nom de la Rose : tuerie ; Le Pendule : tuerie ; L'île du jour d'avant :...
le 30 avr. 2011
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Le Cimetière de Prague par magikpatate
Umberto Eco semble être fasciné par les "faux", et en refait le thème central de ce roman.
Le roman déstabilise dans un premier temps, en prenant comme personnage principal un faussaire égoïste, immoral et antisémite...
Mais on y retrouve l'érudition de l'auteur, qui tisse progressivement un roman peut-être moins brillant que le Pendule de Foucault, mais plus digeste à lire.
Tout en redécouvrant la naissance de l'Italie, la chute de Napoléon III et la naissance de la IIIe république, la naissance de la psychanalyse et les débuts de l'affaire Dreyfus... On suit étape par étape la création de l'écrit qui a donné naissance à l'une des plus terribles horreurs humaines du 20 eme siècle.
Et, malgré l'humour noir dont fait preuve l'auteur tout au long du roman, on ne peut s'empêcher d'avoir froid dans le dos. Car, comme le dit l'auteur lui même, tout est vrai dans ce roman, si ce n'est le narrateur lui même...
A lire au second degré, mais tout de même à lire
Le roman déstabilise dans un premier temps, en prenant comme personnage principal un faussaire égoïste, immoral et antisémite...
Mais on y retrouve l'érudition de l'auteur, qui tisse progressivement un roman peut-être moins brillant que le Pendule de Foucault, mais plus digeste à lire.
Tout en redécouvrant la naissance de l'Italie, la chute de Napoléon III et la naissance de la IIIe république, la naissance de la psychanalyse et les débuts de l'affaire Dreyfus... On suit étape par étape la création de l'écrit qui a donné naissance à l'une des plus terribles horreurs humaines du 20 eme siècle.
Et, malgré l'humour noir dont fait preuve l'auteur tout au long du roman, on ne peut s'empêcher d'avoir froid dans le dos. Car, comme le dit l'auteur lui même, tout est vrai dans ce roman, si ce n'est le narrateur lui même...
A lire au second degré, mais tout de même à lire
7
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le 14 sept. 2012
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