Critique de par HUBRIS-LIBRIS
C’est un regard braqué sur une famille ; les Borya. Dégénérescence des engeances. Une grand-mère (La Vieille). Noé (la fille sans bavardage). Osip (l’oncle à l’œil hagard des corps féminins), et Mie...
le 23 avr. 2018
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