L'actualité sur Le Corps lesbien
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1973 • livre de Monique Wittig
Résumé : Le Corps lesbien a pour thème le lesbianisme, c’est-à-dire un thème dont on ne peut même pas dire qu’il est tabou, il n’a aucune réalité dans l’histoire de la littérature. La littérature homosexuelle mâle a un passé, elle a un présent. Les lesbiennes, elles, sont muettes – comme d’ailleurs toutes les femmes en tant que femmes à tous les niveaux. Quand on a lu les poèmes de Sapho, Le Puits de solitude de Radclyffe Hall, des poèmes de Sylvia Plath, d’Anaïs Nin, La Bâtarde de Violette Leduc, on a tout lu. Seul le mouvement des femmes a été capable dans un contexte en rupture totale avec la culture mâle de faire naître des textes lesbiens, textes écrits par des femmes uniquement pour des femmes insoucieuses de l’approbation masculine. Le Corps lesbien est dans cette catégorie.
1973 • livre de Monique Wittig
Résumé : Le Corps lesbien a pour thème le lesbianisme, c’est-à-dire un thème dont on ne peut même pas dire qu’il est tabou, il n’a aucune réalité dans l’histoire de la littérature. La littérature homosexuelle mâle a un passé, elle a un présent. Les lesbiennes, elles, sont muettes – comme d’ailleurs toutes les femmes en tant que femmes à tous les niveaux. Quand on a lu les poèmes de Sapho, Le Puits de solitude de Radclyffe Hall, des poèmes de Sylvia Plath, d’Anaïs Nin, La Bâtarde de Violette Leduc, on a tout lu. Seul le mouvement des femmes a été capable dans un contexte en rupture totale avec la culture mâle de faire naître des textes lesbiens, textes écrits par des femmes uniquement pour des femmes insoucieuses de l’approbation masculine. Le Corps lesbien est dans cette catégorie.
1973 • livre de Monique Wittig
Résumé : Le Corps lesbien a pour thème le lesbianisme, c’est-à-dire un thème dont on ne peut même pas dire qu’il est tabou, il n’a aucune réalité dans l’histoire de la littérature. La littérature homosexuelle mâle a un passé, elle a un présent. Les lesbiennes, elles, sont muettes – comme d’ailleurs toutes les femmes en tant que femmes à tous les niveaux. Quand on a lu les poèmes de Sapho, Le Puits de solitude de Radclyffe Hall, des poèmes de Sylvia Plath, d’Anaïs Nin, La Bâtarde de Violette Leduc, on a tout lu. Seul le mouvement des femmes a été capable dans un contexte en rupture totale avec la culture mâle de faire naître des textes lesbiens, textes écrits par des femmes uniquement pour des femmes insoucieuses de l’approbation masculine. Le Corps lesbien est dans cette catégorie.
Le 16 nov. 2024
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1973 • livre de Monique Wittig
Résumé : Le Corps lesbien a pour thème le lesbianisme, c’est-à-dire un thème dont on ne peut même pas dire qu’il est tabou, il n’a aucune réalité dans l’histoire de la littérature. La littérature homosexuelle mâle a un passé, elle a un présent. Les lesbiennes, elles, sont muettes – comme d’ailleurs toutes les femmes en tant que femmes à tous les niveaux. Quand on a lu les poèmes de Sapho, Le Puits de solitude de Radclyffe Hall, des poèmes de Sylvia Plath, d’Anaïs Nin, La Bâtarde de Violette Leduc, on a tout lu. Seul le mouvement des femmes a été capable dans un contexte en rupture totale avec la culture mâle de faire naître des textes lesbiens, textes écrits par des femmes uniquement pour des femmes insoucieuses de l’approbation masculine. Le Corps lesbien est dans cette catégorie.
1973 • livre de Monique Wittig
Résumé : Le Corps lesbien a pour thème le lesbianisme, c’est-à-dire un thème dont on ne peut même pas dire qu’il est tabou, il n’a aucune réalité dans l’histoire de la littérature. La littérature homosexuelle mâle a un passé, elle a un présent. Les lesbiennes, elles, sont muettes – comme d’ailleurs toutes les femmes en tant que femmes à tous les niveaux. Quand on a lu les poèmes de Sapho, Le Puits de solitude de Radclyffe Hall, des poèmes de Sylvia Plath, d’Anaïs Nin, La Bâtarde de Violette Leduc, on a tout lu. Seul le mouvement des femmes a été capable dans un contexte en rupture totale avec la culture mâle de faire naître des textes lesbiens, textes écrits par des femmes uniquement pour des femmes insoucieuses de l’approbation masculine. Le Corps lesbien est dans cette catégorie.
1973 • livre de Monique Wittig
Résumé : Le Corps lesbien a pour thème le lesbianisme, c’est-à-dire un thème dont on ne peut même pas dire qu’il est tabou, il n’a aucune réalité dans l’histoire de la littérature. La littérature homosexuelle mâle a un passé, elle a un présent. Les lesbiennes, elles, sont muettes – comme d’ailleurs toutes les femmes en tant que femmes à tous les niveaux. Quand on a lu les poèmes de Sapho, Le Puits de solitude de Radclyffe Hall, des poèmes de Sylvia Plath, d’Anaïs Nin, La Bâtarde de Violette Leduc, on a tout lu. Seul le mouvement des femmes a été capable dans un contexte en rupture totale avec la culture mâle de faire naître des textes lesbiens, textes écrits par des femmes uniquement pour des femmes insoucieuses de l’approbation masculine. Le Corps lesbien est dans cette catégorie.
Le 14 sept. 2024
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1973 • livre de Monique Wittig
Résumé : Le Corps lesbien a pour thème le lesbianisme, c’est-à-dire un thème dont on ne peut même pas dire qu’il est tabou, il n’a aucune réalité dans l’histoire de la littérature. La littérature homosexuelle mâle a un passé, elle a un présent. Les lesbiennes, elles, sont muettes – comme d’ailleurs toutes les femmes en tant que femmes à tous les niveaux. Quand on a lu les poèmes de Sapho, Le Puits de solitude de Radclyffe Hall, des poèmes de Sylvia Plath, d’Anaïs Nin, La Bâtarde de Violette Leduc, on a tout lu. Seul le mouvement des femmes a été capable dans un contexte en rupture totale avec la culture mâle de faire naître des textes lesbiens, textes écrits par des femmes uniquement pour des femmes insoucieuses de l’approbation masculine. Le Corps lesbien est dans cette catégorie.
1973 • livre de Monique Wittig
Résumé : Le Corps lesbien a pour thème le lesbianisme, c’est-à-dire un thème dont on ne peut même pas dire qu’il est tabou, il n’a aucune réalité dans l’histoire de la littérature. La littérature homosexuelle mâle a un passé, elle a un présent. Les lesbiennes, elles, sont muettes – comme d’ailleurs toutes les femmes en tant que femmes à tous les niveaux. Quand on a lu les poèmes de Sapho, Le Puits de solitude de Radclyffe Hall, des poèmes de Sylvia Plath, d’Anaïs Nin, La Bâtarde de Violette Leduc, on a tout lu. Seul le mouvement des femmes a été capable dans un contexte en rupture totale avec la culture mâle de faire naître des textes lesbiens, textes écrits par des femmes uniquement pour des femmes insoucieuses de l’approbation masculine. Le Corps lesbien est dans cette catégorie.
Le 9 sept. 2024
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Résumé : Le Corps lesbien a pour thème le lesbianisme, c’est-à-dire un thème dont on ne peut même pas dire qu’il est tabou, il n’a aucune réalité dans l’histoire de la littérature. La littérature homosexuelle mâle a un passé, elle a un présent. Les lesbiennes, elles, sont muettes – comme d’ailleurs toutes les femmes en tant que femmes à tous les niveaux. Quand on a lu les poèmes de Sapho, Le Puits de solitude de Radclyffe Hall, des poèmes de Sylvia Plath, d’Anaïs Nin, La Bâtarde de Violette Leduc, on a tout lu. Seul le mouvement des femmes a été capable dans un contexte en rupture totale avec la culture mâle de faire naître des textes lesbiens, textes écrits par des femmes uniquement pour des femmes insoucieuses de l’approbation masculine. Le Corps lesbien est dans cette catégorie.
1973 • livre de Monique Wittig
Résumé : Le Corps lesbien a pour thème le lesbianisme, c’est-à-dire un thème dont on ne peut même pas dire qu’il est tabou, il n’a aucune réalité dans l’histoire de la littérature. La littérature homosexuelle mâle a un passé, elle a un présent. Les lesbiennes, elles, sont muettes – comme d’ailleurs toutes les femmes en tant que femmes à tous les niveaux. Quand on a lu les poèmes de Sapho, Le Puits de solitude de Radclyffe Hall, des poèmes de Sylvia Plath, d’Anaïs Nin, La Bâtarde de Violette Leduc, on a tout lu. Seul le mouvement des femmes a été capable dans un contexte en rupture totale avec la culture mâle de faire naître des textes lesbiens, textes écrits par des femmes uniquement pour des femmes insoucieuses de l’approbation masculine. Le Corps lesbien est dans cette catégorie.
1973 • livre de Monique Wittig
Résumé : Le Corps lesbien a pour thème le lesbianisme, c’est-à-dire un thème dont on ne peut même pas dire qu’il est tabou, il n’a aucune réalité dans l’histoire de la littérature. La littérature homosexuelle mâle a un passé, elle a un présent. Les lesbiennes, elles, sont muettes – comme d’ailleurs toutes les femmes en tant que femmes à tous les niveaux. Quand on a lu les poèmes de Sapho, Le Puits de solitude de Radclyffe Hall, des poèmes de Sylvia Plath, d’Anaïs Nin, La Bâtarde de Violette Leduc, on a tout lu. Seul le mouvement des femmes a été capable dans un contexte en rupture totale avec la culture mâle de faire naître des textes lesbiens, textes écrits par des femmes uniquement pour des femmes insoucieuses de l’approbation masculine. Le Corps lesbien est dans cette catégorie.
1973 • livre de Monique Wittig
Résumé : Le Corps lesbien a pour thème le lesbianisme, c’est-à-dire un thème dont on ne peut même pas dire qu’il est tabou, il n’a aucune réalité dans l’histoire de la littérature. La littérature homosexuelle mâle a un passé, elle a un présent. Les lesbiennes, elles, sont muettes – comme d’ailleurs toutes les femmes en tant que femmes à tous les niveaux. Quand on a lu les poèmes de Sapho, Le Puits de solitude de Radclyffe Hall, des poèmes de Sylvia Plath, d’Anaïs Nin, La Bâtarde de Violette Leduc, on a tout lu. Seul le mouvement des femmes a été capable dans un contexte en rupture totale avec la culture mâle de faire naître des textes lesbiens, textes écrits par des femmes uniquement pour des femmes insoucieuses de l’approbation masculine. Le Corps lesbien est dans cette catégorie.